& Vénus || There's nothing you can teach me .

PRIVATE PRESENTATION .
BY TISHA
DON'T TOUCH .

I. Carte d’identité

Nom(s) : GALLEOTI & GONZALEZ

Se prononcant : Gallé-O-ti _ Gonza-les

Prénom(s) : Vénus Zara

Se prononcant : Vé-nous _ Dza-ra (en roulant le R)

Surnom(s) : A ce nom vous trouverez des tonnes de surnoms. Ca, Vénus n'en manque pas. Mais elle préfère qu'on l'appelle par le prénom entier car les surnoms l'énervent. Pourquoi ? Eh bien tout d'abord Vévé lui fait penser à un nom d’imbécile & avouons qu’on n’adore pas tous être pris pour des imbéciles . Ensuite Veny sonne à ses oreilles trop English … & elle préfère garder l’authenticité des origines de son prénom, Romaines oui la déesse Vénus dite Aphrodite en Grêce . Ont suivi à ces deux là, Zaza, Zazette, enfin bref vous voyez le truc, de pures bêtises . Ne la traitons pas trop vite de chipoteuse, tout le monde tient à ses prénoms n’est ce pas ?

Âge : La jeune femme & j'ai bien dis jeune, n'a que 18 ans qu'elle vient de fêter dans un pub à Naples avec ses amis . Evidemment ce n’est pas très chic, mais les anniversaires ça n’a jamais été sa « tazza da tè », les gros gâteaux & les bisous baveux … non merci . Donc 18 ans & toutes ses dents, la fleur de l’âge me direz vous . La plus belle époque de sa vie, qu’elle se contente de vivre comme si elle n’avait que 12 ans, c'est-à-dire, avec insouciance & allégresse .

Date et lieu de naissance : Vénus est née dans une clinique à Rome, ville de son père en 199o . Plus exactement le 26 juin, en pleine période estivale .

Nationalité : Etant donné qu’elle est née en Italie, cela fait d’elle une Italienne . Mais ses origines se croisent aussi avec l’Espagne .

Occupation : Sans épiloguer, Vénus travaille à présent en tant qu’organisatrice de soirée au club « Il Infierno » . C'est-à-dire elle se charge des artistes, groupes/chanteur qui s’y produiront, elle trouve les thèmes, se charger des affiches, engage des personnes . Vous pourriez croire qu’elle ne fait ça seulement parce qu’elle a besoin d’argent, mais non, elle a arrêté ses études pour se consacrer à ce projet, car elle est fan de musique . Bon d’accord, j’avais promis de ne pas épiloguer . Son autre job, si on peut appeler ça un job, c’est qu’elle dessine pour le journal local, aussi fan de dessin, c’est plus un choix qu’une obligation .

II. Biographie

Contexte familial : Si l’on est assez bon en culture générale on verrait tout de suite que les deux noms de Vénus ne viennent pas du même pays . Galleoti, nom de son père, Alfonso Galleoti, vrai Italien, citoyen de Rome . Né assez pauvre, il dut faire des pieds & des mains pour arriver à être patron de son entreprise de batiment, où il exerce aussi la fonction d’architecte . L’autre nom, Gonzalez évoque directement les origines d’un pays assez : « Ola ! Puedo tener une boteilla de agua ? Si ? Que calor ! » Vous l’aurez deviné l’Espagne . Sa mère, Inès Gonzalez, est née en Andalousie en Espagne d’une famille de riches commerçants . Elle passa une partie de son enfance à Naples, en Italie & retourna dans son pays d’origine . Le couple se rencontra en période estivale, alors que Inès venait passer des vacances à Rome . Quatre années plus tard, une certaine Vénus Zara naquit dans une clinique romaine . Fonder une famille devenait sérieux, & ce fut l’exigence d’Inès d’emménager à Naples, ville de son enfance .
C’est dans ce contexte là que Venus grandit . Pas très passionnée par les études, elle préféra se concentrer sur ses passions qu’était le dessin & la musique . Elle découvrit plus tard qu’elle avait un talent en art, que ses parents ne prenaient pas au sérieux . Selon eux, elle était destiné à une meilleur avenir que des « graffitis » sur un cahier . A 15 ans, on est bien forcés d’écouter ses parents, aussi elle s’investie dans les études & décrocha un diplôme . Vint le moment qu’elle redoutait le plus, son choix d’orientation, elle n’avait rien de très spécial, elle n’était pas doué pour écrire, la science n’était pas sa tasse de thé … Elle ne voyait aucun endroit où elle pouvait «faire carrière » . Mais ses parents résultèrent le problème assez rapidement, l’envoyant dans une école d’art plastiques où elle fut condamné à étudier les noms des couleurs et les grands artistes peintres . Un an plus tard, il fallait se rendre à l’évidence, ce n’est pas dans une école qu’elle allait épanouir son art . Elle décida de tout abandonner . Sur cette lancée de liberté, elle s’était investie dans son autre passion, la musique . La discothèque de Naples « Il Infierno » venait d’être refaite & on cherchait quelqu’un qui pourrait s’occuper du recrutement des emplois . Vénus s’y présenta & réussit à décrocher un job d’organisatrice, quelque chose de peu connu dans le coin, mais qui inspira confiance aux patrons . C’est ainsi, qu’elle créa ses propres soirées, faisant se produire sur scène, des grands stars jusqu’aux chanteur locaux . Aujourd’hui ce projet marche très bien & elle continue à dessiner pour le journal de la ville .

Anecdote de la vie actuelle :

« Qu’est ce t’es en train de faire là ? »
Une voix cristalline s’éleva en un écho dans la vaste villa au parquet impeccable . Les pièces qui la composaient, du moins, celle qu’on voyait, pouvait être qualifiée de vide si on ne comptait pas le dressing-room plein à craquer . Les fenêtres s’ouvraient sur un jardin incroyablement bien entretenu de fleurs & de plantes grimpantes, quant au soleil, il s’infiltrait doucement, rayon par rayon dans la bâtisse. Contrairement à ce que pourrait suggérer ce contexte, l’ambiance était de loin chaleureuse & accueillante. L’après-midi commençait & un silence inquiétant s’était installé avant qu’une petite blondinette lance cette phrase. Elle était apparue dans la pièce en lâchant ceci d’un ton de reproche, de méfiance & de fougue, quiconque l’aurait entendu ce serait empressé de s’en aller sans épiloguer mais la personne visée ne faisait pas partie du groupe « quiconque ». Vénus s’approcha de son agréssé en le dévisageant avec stupeur, il s’était agenouillé sur la moquette blanche de son dressing room & avait l’air d’être à la recherche de quelque chose. En regardant mieux cet individu suspect & en étant n’importe qui sauf Vénus, on se serait dit « quel canon », il portait un blouson en cuir noir, un jean & des converses usées, qu’il qualifié de « pure mode », ses cheveux blonds se relevaient en une petite crête & sa paire de ray bans pendaient à son tee shirt tagé …
« Je viens te rendre visite. Non c’était une blague, je cherche l’album des Kooks que tu m’avais volé . »
Mais Vénus elle, voyait Diego Cuaron très différemment . Elle trouvait bête de mettre un blouson en cuir avec la chaleur qu’il faisait en Italie, surtout ce jour là, elle détestait le genre de jean qu’il mettait car ils lui allaient trois fois trop grand, ses converses étaient vieilles & bonnes pour la poubelle & elle était sure qu’il avait trop la flemme d’aller en acheter une autre paire. Elle trouvait complètement gamin de faire une crête surtout quand on est blond & évidement « con », quand à sa paire de raybans elle les imaginait déjà se briser en tomber sur le parquet. Il faut avouer, Vénus n’avait pas une très belle image de cet individu . Peut être parce qu’ils étaient sortis ensemble & s’étaient fais les pires crasseries possibles … Ce qui l’énervait le plus, c’était qu’il parvenait à faire comme si de rien était en la voyant & croyant toujours la faire « tomber sous son charme » comme avant . Cette réplique ne fit que plus augmenter la haine qu’elle avait envers lui, elle entra dans son dressing-room, alors qu’il avait les mains encore en pleins dans sa tiroir à sous vêtements & le poussa de façon à le faire basculer hors du placard .
« Quoi ? Alors primo, je te l’ai pas volé tu me l’a offert à Noël, deusio ça m’étonnerait que le grand Diego se déplace pour un disque qu’il a en double & tersio : OUT . »
Tant d’amour & d’amitié en quelques mots . C’était ce qu’on pouvait appeler l’amour vache . Depuis un moment c’était comme ça entre eux, à chaque fois que le malheur les faisait se croiser ;oui car c’était un malheur d’avoir à se supporter encore ; il était inévitable qu’ils se lancent des piques . & étant donné qu’ils avaient passé un bout de temps ensemble & qu’ils se connaissaient très bien, ils avaient toujours le souvenir, le dossier qui tue . La phrase que lança le jeune homme ne fit que le confirmer .
« J’ai perdu le mien & le double c’est celui que je t’ai offert … Chérie . »
Ca c’était bien digne de lui . Aujourd’hui plus rien ne pouvait l’étonner venant de lui, alors le fait de lui avoir offert un «cadeau» d’occasion ne la surpris pas plus que ça . Aussi, Vénus préféra ne rien dire & continuer à remplir le carton qu’elle avait placé dans son placard .
DIEGO : TU SAIS … J’AIMAIS BIEN CE TOP .
VENUS : ET TOI TU SAIS QUE JE TE PREFERE SALOP MAIS SINCERE … ?
Un long silence s’installa .
DIEGO : ALORS C’EST LE GRAND JOUR …
VENUS : SI LE GRAND JOUR VEUT DIRE QUE JE DEMMENAGE LOIN DE TOI & DE TON KARMA, OUI C’EST LE GRAND JOUR .
DIEGO : (LOL) JE T’AIDE SI TU VEUX .
VENUS : JE VEUX PAS, MAIS JE MANQUE CRUELLEMENT DE BRAS, ALORS TIENS .
DIEGO : T’ES DEVENUE FORTE EN REPLIQUE .
VENUS : ON VA DIRE QUE J’AI UN BON EXEMPLE .
DIEGO : NE RÊVE PAS TROP MA PETITE, RIEN N’EST EGAL A DIEGO CUARON .
VENUS : QUAND TU PARLE A LA 3EME PERSONNE DE TOI-MEME, J’AI ENVIE DE T’ETRANGLER .
DIEGO : ET JE T’EN VEUX PAS, UN TAS DE FILLES VEULENT ME SAUTER DESSUS … T’AS DEJA EU TON HEURE DE GLOIRE .
VENUS : OUI & EN BONUS J’AI EU UNE CD DES KOOKS OCCASION . LE RÊVE .
DIEGO : TU SAIS POURQUOI CA A PAS MARCHE AVEC TOI ? T’EN DEMANDAIS TROP .
VENUS : (SOUPIRS) C’EST PAR LA .
La blondinette l’entraina avec elle vers les escaliers, elle avait un carton dans les bras & lui deux . Le calme inquiétant s’était métamorphosé en méditation chacun préparait le prochain pique à lancer. Les parents de Vénus étaient en voyage, ils avaient préféré se la couler douce au soleil qu’aider leur fille à emménager dans son appartement . & quel hasard était-ce que ce soit sur lui qu’elle tombe . La pick-up était plein à craquer, elle était prête à quitter sa maison . Elle se retourna un moment vers le jardin & la fenêtre de sa chambre …
DIEGO : ARRETE, TU VA ME FAIRE PLEURER .
VENUS : LA FERME …
DIEGO : JE CONDUIS .
VENUS : JE COMPREND TOUJOURS PAS CE QUE TU FAIS ICI …
DIEGO : BAH EN FAIT … C’EST MA MERE . ELLE A DIT QUE TU T’EN SORTIRAIS PAS TOUTE SEULE .
VENUS : C’EST TROP GNON DE VOIR COMMENT TU TE SOUMETS A MAMA .
Elle éclata de rire, Diego ne supportait pas les mots du genre de « gnon » surtout quand ça le concernait . Il rit à son tour puis se ressaisit en décoiffant Vénus . Un silence s’installa, comme si ils avaient fait tout les deux une terrible erreur en riant ensemble, ils avaient comme violé une loi .
VENUS : TU SAIS DIEGO … T’AS LES CHEVEUX SALES .
DIEGO : (CHOQUE) QUOI ? JE LES AI LAVES CE MATIN ! & TOI … TON MASCARA COULE, TU L’A ACHETE CHEZ L’EPICIER ?
VENUS : & SI TU LA FERMAIS CUARON ?
DIEGO : NE M’APPELLE PAS CUARON !

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