Meg M. Anderson [Terminée]

There was a game we used to play,
We would hit the town on friday night
And stay in bed until sunday.
We used to be so free,
We were living for the love we had,
Living not for reality...

It was just my imagination.

I. Carte d’identité

Noms : Lors de sa naissance, les parents de Meg ont décidé d'un commun accord que leur fille porte leur deux noms de famille. Sur les papiers officiels sont donc écrits "Morgan Anderson", mais Meg n'utilise que le dernier dans la vie courante.
Prénoms : Megan.
Surnoms : Tout le monde la connaît comme étant "Meg". Quelques amis et collègues conaissant son goût prononcé pour les mûres la surnomment "Bibi", faisant appel aux deux "B" de "Blackberry".
Âge : 26 ans.
Date et lieu de naissance : Meg est née tôt le matin du 6 juin 1982, dans la capitale de la République Irlandaise, à Dublin. Elle a grandit un peu plus au sud de la côte est, à Arklow.
Nationalité : Irlandaise.

Occupation : Cascadeuse. Le plateau du film sur lequel elle travaille actuellement est en Italie, à Naples.

II. Biographie

Contexte familial :
-La demeure familiale : Meg et ses parents vivent au-dessus du pub qu'il tiennent, The Salamander, South Quay, 3rd, en bordure de l'Avoca River, non loin de son embouchure. Les parents de Meg, Cathy Morgan et Jeffrey Anderson y ont mis chacun leur touche personnelle, plaçant l'atmosphère du pub à mis chemin entre la mer et la musique. On y ressent leur goût des festivités et du bon-vivant: le mobilier y est confortable, la décoration chaleureuse, les boissons riches et variées. Les Morgan Anderson sont également attachés à leur clientèle, dont certains membres font quasimment partis de la famille, et ils ne manquent jamais de s'assurer qu'une personne en état d'ébriété quitte leur pub accompagnée, allant parfois jusqu'à appeler un taxi. Avec le succès qu'a vite rencontré The Salamander, les parents de Meg ont dut embaucher un peu de personel, dont parfois des jeunes, surtout en été. Meg a ainsi grandit entourée de beaucoup de conaissances, de tout âge et de toutes origines, parfois de passage, parfois des habitués de plusieurs années.
-Du côté maternel : Le grand-père de Meg, papy Dan, était et reste encore un grand violonniste de la région. Il vit maintenant de l'autre côté de l'île avec Mamy Jo. Quand elle était petite, Meg aimait beaucoup aller chez eux pour écouter les vieux disques des morceaus de Papy Dan, ou aller se baigner dans l'eau froide de l'Atlantique, ou encore manger les délicieurse pommes de terre du potager de Mamy Jo. Avant de partir à la retraite à cause de son artrose, Papy Dan était fabricant de violon avec son frère, James Morgan. Meg n'a pas connu son grand-oncle, ou du moins elle ne s'en souvient pas. C'est son oncle, Stefan Morgan qui a hérité du magasin, Maryses's Terrace Street, 24th. Son cousin, Stefan Junior Morgan commence à apprendre les ficelles du métier. Meg et lui se disputent tout le temps, ils adorent se chamailler. Leur bêtises ont d'ailleurs beaucoup fait jaser le Castle Park et les rues environnantes pendant quelques années.
-Du côté paternel : L'autre grand-père de Meg, James Anderson, est mort en février 1919 lors d'une manifestation qui a viré à l'émeute pendant la guerre civile. Il était dans le chantier naval et Meg aime beaucoup entendre son père lui raconter comment son grand-père nouait les noeuds, comments il polissait le bois, l'odeur des planches huilées, le bruit des poulies qui grincent, des cordes qui se tendent, du bois qui craque. Meg et sa grand-mère partagent le même prénom, même si Meg Morgan Anderson n'a pas vraiment Megan Anderson dans son coeur. Les peu de fois où elle allait chez sa grand-mère, celle-ci avait toujours quelquchose à critiquer, sa façon de s'habiller, de manger, de parler, de se coiffer... Elle n'était jamais contente. Avec le temps, Meg a finit par comprendre que c'était pour son bien que sa grand-mère était aussi éxigente, elle en garde cependant un ressentiment prononcé. Son père a une soeur, née deux ans avant la mort de Papy Jack: Aunt Theri. C'est elle qui a convertie Meg aux mûres. Elle cuisine si bien que s'en est douloureux: ses confitures, ses claffoutis, ses crèmes glacées, ses sirops... Rien qu'à l'idée d'aller chez Aunt Theri, Meg en a déjà l'eau à la bouche. Elle a un cousin et une cousine de ce côté de la famille, des jumeaux: Marc et Amy. ILs sont tous les deux très fouineur et très débrouillards, Meg les surnomme plus ou moins affectueusement "les teignes" ou "les carnes". Il est très drôle d eles voir se disputer entre eux, mais quand ils ont trouvés un ennemi commun, plus rien ne les arrête. Meg s'est une fois dans sa vie retrouvée dans cette situation, elle rougit de honte rien que d'y penser, et pour rien au monde elle ne voudrait renouveller l'experience.

Anecdote de l'enfance :

The Salamander, South Quay 3rd, Arklow. 20h47, June 1990, the 5th:
Meg, 8 ans, 364 jours, et 12 heures était sagement assise en tailleur sur le bar, l'oeil de son père fixé sur elle alors qu'il lavait les verres. S'asseoir sur le zing, c'était une habitude qu'elle avait prise alors qu'il n'y avait personne durant la journée, qui avait jour après jour pris sur la soirée, et qu'il était à présent devenu difficile de lui faire perdre. Plusieurs fois elle s'était faite rabrouée à ce sujet, mais ce soir, une exception lui avait été accordée. En effet, étant née à 6 heures du matin, son anniversaire était toujours fêté la veille et pour son anniversaire, on ne pouvait pas lui refuser ce plaisir.
Meg était donc assise sur le bar du pub de ses parents, ces derniers veillant bien à ce qu'elle n'en tombe pas. Ses cheveux blonds étaient tressés en deux nattes qui tombaient sur ses épaules jusqu'à ses coudes. Sa petite langue rose entre les dents, ses yeux clairs louchaient sur le bout de fil qu'elle tentait de faire passer dans ses coquillages. Elle les avait ramassé l'après-midi même avec sa mère et avait depuis entreprit de s'en faire un collier. Personne n'y trouvait rien à redire, pour une fois qu'elle s'interessait à une occupation calme et silencieuse. Oui, Meg était une enfant turbulente, elle était casse-cou, et têtue. Combien de fois était-elle tombée de ce bar même où elle était assises? Mais elle n'avait jamais fait que d'en rire. Combien de fois avait-elle briser la vaisselle de ses parents? Mais elle avait toujours réussit à se faire pardonner en aidant ses parents lors des soirées pleines en prennant les commandes des clients. Ils étaient souvent surpris mais au fond attendris de voir une gamine débarquer avec son carnet de note et son écriture maladroite leur proposer des cocktails et des vins dont elle ne conaissait que le nom. L'alcool était d'ailleurs une question qui se posait souvent. Voyant toujours les gens en boire, il n'était pas étonnant que Meg veuille y goûter aussi. Mais ses parents avaient appris à feinter. En ce moment même, Meg avait une tasse de pseudo-Irish Coffee à côté d'elle. Il ne s'agissait bien sûr que de chocolat chaud recouvert de chantilly, mais ça fonctionnait bien, en tout cas, elle en était satisfaite. Au moment où elle s'apprêtais à en reprendre une gorgée, les lumières de la salle principale s'éteignirent. Seuls les lampadaires de la rue qui bordait le quai permettait de discerner les visages des clients momentannément surpris. Pour Meg par contre, c'était la même excitation qu'au cinéma, quand les lumières s'éteignent juste avant le film. Sans hésitation, son visage se tourna vers la cuisine où la lumière de neuf chandelles éclairait le visage de sa mère...
_Happy birthday to you.. Happy birthday to you...
Petit à petit la salle reprennait le chant, quelques touristes ignorants de l'évenement balbutiant un "Ma...Morg...Megan" incertain. A peine le chant finit, une exclamation enfantine surprise suivie d'autres plus inquiètes et de racclement de tabouret se firent entendre. On ralluma les lumières: Meg était allongée à terre, se tenant les côtes, quelques clients et ses parents penchés sur elle. Dans sa précipitation de découper les gateaux, elle en avait oublié où elle était juchée. Ce n'était pas la première fois que cela arrivait, mais toujours les même questions précédaient les même réponses...
_Tu es tombée? Tu n'as rien? Ca va?
_Hou! Houhou! Houhouihihihi! répondit une Meg morte de rire.
_Tu as mal quelque part? Toujours aussi hilare, Meg acquiesca de la tête. Son rire commencait à devenir contagieux et quelques personnes se mettaient à rire également.
_Bon. fit sa mère. Je crois que ça ira. Je vais quand même aller chercher de l'arnica...
_Tu veux couper les gateaux Meg? lui demanda son père en aidant sa fille à se relever.
La petite blondinette acquiesca à nouveau, toujours secouée par quelques éclats de rire. Ses joues avait rougit et commencaient à reprendre leur teint normal. Les parts n'étaient pas très égales, mais il y en avait pour tout le monde, même ceux qui ne conaissait pas la famille et qui ne faisait que passer pour boire un verre. C'était comme ça chez les Morgan Anderson. Tous les jours, tout le temps...

Anecdote de l'adolescence :

The Salamander, South Quay, 3rd, Arklow. 01h56, May 1992, 11th :

Meg, 16 ans, était allongée toute habillée sur son lit, sa robe neuve un peu froissée, ses mains crispées sur son ventre secoué de temps à autre par un spasme de colère. Ses yeux grands ouverts foudroyaient le plafond, ses oues roses étaient encore un peu humides. Au travers de ses écouteurs, Dolores O'Riordan murmurait ses paroles au cerveau anesthesié de Meg...
"...There's no need to argue anymore.
I gave all I could but it left me so sore.
And the thing that makes me mad
Is the one thing that I had
I knew, I knew, I'd lose you..."
La porte de sa chambre s'ouvrit doucement. Meg se retourna pour essuyer ses larmes sur son oreiller. Devinant des pas derrière la musique, elle sentit son matelas s'affaisser légèrement et la main douce de sa mère se poser tendrement sur son épaule.
_"...And I remember all the things we once shared..."

_Ce ne s'est pas bien passé?

demanda la voix de sa mère à travers la musique. Meg hocha de la tête, prétextant une quinte de toux pour cacher son sanglot. Sa mère prétexta ne pas avoir entendu. Elle avait toujours respecté la pudeur de sa fille à ce niveau. Elle savait que Meg n'aimait pas être vue en train de pleurer...
_"...But they say it'll work out fine,
Was it all a waste of time?..."

_Préfères-tu que je te laisse seule Meg?

Sa fille lui répondit par un nouveau hochement de tête, une de ses mains pris la sienne sur son épaule. Meg sentit sa mère s'allonger près d'elle et poser une oreille près de sa tempe. C'était sa façon de partager sa musique. C'était ses parents qui lui avait fait découvrir la majorité des groupes que Meg écoutait, et c'était la source d'une grande partie de leur complicité...
_"...Will I forget in time?
You said I was on your mind.
There's no need to argue anymore..."
La mère de Meg devina que cette grande soirée pour laquelle sa fille s'était préparée, pour laquelle elles avaient tant parlé, pour laquelle elles étaient allées acheter une robe et des chaussures neuves, ne s'était pas déroulée comme elles l'avaient ésperé... Le baladeur de Meg s'arrêta, l'album des Cranberries était arrivé à la fin de sa dernière piste. Quelques minutes s'écoulèrent pendant lesquelles sa mère attendit le bon moment avant de lui demander ce qu'il s'était passé avec lui.

_C'est mes cicatrices...

répondit Meg après un moment. Sa mère ne répondit rien. Il n'y avait rien à répondre.
Des cicatrices, elle en avait toujours eut, depuis sa plus petite enfance. Il y avait la brûlure le long de son bras gauche et de sa hanche qui était due à une casserole renversée quand elle avait quatre ans. Il y avait cette marque à son molet lorsqu'elle s'était méchamment casser la jambe au cours de sport. Il y avait cette petite marque au-dessus de son sourcils qu'elle s'était faite à la fin d'un cours d'escrime, alors qu'elle avait retiré son masque. Des cicatrices, elle en avait partout; mais ça n'avait jamais été un problème jusqu'à cette année. En maternelle, ses camarades n'y avait pas fais attention. Au collège, un peu plus, mais ils les concidéraient plus comme des trophées que comme des marques disgracieuses... Au lycée par contre, les choses avaient été très différentes. Meg avait reçu bon nombre de remarques, auxquelles elle n'avait jamais manqué de répondre (recevant ainsi de nombreuses convocation). Elle se vantait qu'à chaque insultes sur une de ses cicatrices, elle ferais une cicatrice en retour sur l'auteur de l'insulte. Mais au fil des mois, bien qu'elle n'ait rien perdu de son caractère, ses bras et ses épaules avaient peu à peu disparus sous des manches longues et des cols serrés. Ces dernières semaines, Meg et sa mère avaient esperé que son nouveau petit ami potentiel irait au-dessus de cela... apparemment à tort.
La mère de Meg ouvrit le baladeur de sa fille et changea le disque des Cranberries pour un autre de The Corrs. Elle appuya sur la touche On, puis sur la touche Play, mis la piste 6 et se mit à chanter à l'oreille de sa fille...
_"...When the day is long
And the night is yours alone.
When you think you had enough
Of this life, hang on.
Don't let yourself go,
Cause everybody cries
And everybody hurts
Sometimes..."

Bienvenuuue ! cheers

je réserve le vava !

Welcome

Welcome here Smile

LB ... C'était une de mes anciennes signatures ... {Pour Little Bee}

Bref, bienvenue parmi nous, bonne continuation pour ta fiche !

Bienvenue

Welcome

Merci tout le monde! I love you

Samuel Fisher : Vois l'icone... *Retiens-toi-retiens-toi-retiens-toi. Trop-tard!* "Eeuuooooouuuuuuuuaaaall-E!"

Une autre fana de robots à ce que je vois Meg M. Anderson [Terminée] 975223

Je préfère quand même : "M-O" Meg M. Anderson [Terminée] 735942

Bienvenue

Bienvenue
Elle a l'air trop femme sérieuse sur le vava

Anecdote de la vie actuelle :

Set 4, quelquepart dans les rues de San Vittorino, Naples, Italie. 11h14, October, Friday the 13th:

_T'es plête Bibi?

Meg ne répondit pas tout de suite au co-réalisateur italien, tout petit en bas, avec son megaphone. Ce n'était pas la première fois qu'elle faisait ce genre de cascade, et elle avait autant confiance en Gaspard qu'en son énorme matelas censé la receptionnée en bas. Mais c'était plus fort qu'elle, on était un Vendredi 13, et les Vendredi 13 n'avaient jamais été de très bonnes journées pour elle. Mais après un court moment d'hésitation, elle répondit du haut de l'immeuble duquel elle devait sauter.

_Prête!
_Palfait! Alols on est paltit! Silence sul le plateau!...

Une bonne dizaine de mètres sous ses pieds, les gens regagnaient leur postes et reprennaient leur concentration.

Moteul!... On toulne!

Meg prit une profonde inspiration, fit deux pas en avant pour prendre de la vitesse et se jeta dans le vide. Les quatres secondes que durèrent sa chute lui semblèrent une éternité. Elle adorait cette sensation. Son corps protestait violemment contre cette absence de support et larguait des litres d'adrénalyne dans des veines. Elle semblait peser moins qu'une plume et à la fois plus d'une tonne. Au mileu de sa chute, elle se retourna d'un coup de rein, tournant son visage au ciel, et pendant une fraction, elle eut le sentiment d'être perdue dans les nuages, le vent sifflant dans ses oreilles, quelques mèches de cheveux blonds volant autour de son visage...
Et son dos percuta l'épais coussin d'air au sol, s'enfoncant profondément sans rebondir, le matelas se déformant complètement pour amortir sa chute. Son coeur battant la chamade, un gigantesque sourire aux lèvres, Meg finit par se mettre à quatre pattes et à patauger vers le bord du coussin d'air pour en descendre. Une voix au fort accent italien cria un "Coupez" dans le mégaphone, puis Julian s'approcha du coussin pour accueillir la cascadeuse...

_Bene Bibi, mais si tu pouvais palaîtle oun peu plus paniquée... Ton pelsonnage il a pas choisis de tomber nolmalment...
_Ah si. D'accord. On la refait alors.
_Si. On la lefait!

répéta-t-il dans son mégaphone, faisant sursauter Meg. Celle-ci se boucha les oreilles et se dirigea une nouvelle fois vers les escaliers pour remonter en haut de l'immeuble...

III. Détails supplémentaires

Particularités :

...physiques:
- Non seulement à cause de toutes ses galipettes enfantines, mais aussi à cause de quelques gamelles professionelles, le corps de Meg est couvert de cicatrices, certaines très discrètes, d'autres beaucoup plus voyantes. En partant de la tête aux pieds, il y a cette petite marque blanche au-dessus de son sourcil droit, dut a un fleuret d'escrime. Partant de son épaule gauche, le long de son bras et u peu sur sa hanche, il y a la trace d'une longue brûlure, dut une bonne quantité d'eau bouillante renversée d'une casserole lorsqu'elle était petite. Il y a sur l'angle de son poignet et de sa main droite des points de sutures qui ont mal cicatrisés après la morsure d'un chien mal dressé sur un tournage. Elle en a d'ailleurs gardé une sacré frousse vis-à-vis de la race canine. Quelques traces témoignent de ses fracture du tibia a répétition et elle ne porte jamais de sandales, car elle a perdu un orteil lorsqu'une voiture censée la frôler lui a roulé sur le pieds gauche. L'orteil perdu étant au milieu du pied, son équilibre n'en est heureusement pas affecté.
- Le visage de Meg est très expressif, surtout en ce qui concerne son espièglerie. Sourires en coin, haussement de sourcil, clins d'oeil, elle arrive même parfois à vous faire douter rien qu'en vous regardant avec un certaine insistance. Son visage rougit très vite, que ce soit de colère, de honte ou de rire; et sa peau marque très rapidement. On constate souvent des cernes bleux sous ses yeux, même si elle pète toujours la forme.
-Peu importe où qu'elle aille, où elle est et quand elle y est, Meg sent toujours la mûre. Son gel-douche, son shampooing, son après-shampooing, son parfum, son déo, tout est à la mûre. Elle y voue un culte. Elle en mange, elle en boit, elle vite littéralement de la mûre. Privé Meg de mûres, c'est sortir un poisson de l'eau et le mettre à la poêle, c'est cruel, sadique et blasphématoire.
-Cela ne fait pas très longtemps que Meg est en Italie, elle ne parle donc pas très bien l'Italien. On devine plus que facilement son accent irlandais, il arrive souvent qu'il faille lui trouver le mot qu'elle cherche où qu'elle fasse des anglicismes et des contre-sens. Meg parle donc bien plus par gestes et mimes que par la parole.
...psychologiques:
- Il semblerait que Meg aime se mettre en danger. C'est sa façon de vivre. Les chutes, les bobos, les maladresses, elle en rit toujours, surtout si elle s'est ridiculisée. Comme elle dit toujours, il vaut mieux en rire qu'en pleurer. C'est sa joie de vivre. Elle adore faire la fête, plus ou moins raisonnablement celon qu'elle soit dans une bonne ou une mauvaise passe. Il lui arrive très rarement de s'appitoyer sur son sort, elle préfère s'en prendre aux autres, même si elle n'a pas forcément raison. Meg est un bon-vivant, elle aime rire, boire, manger, vivre quoi...
- Que ce soit clair, Meg n'est pas fine d'esprit. Il peut arriver que ce qu'elle cherche soit pil poil sous son nez, on peut lui envoyer des signaux s'en même qu'elle ne s'en rende compte, enfin bref... Mieux vaut être clair avec elle parcequ'elle n'est vraiment pas pertinente. Elle a très peu de mémoire, est très mauvaise en caclul mental, elle ne sait pas toujours prendr d'initiatives... Mais elle a un bon sens de l'orientation et de bonnes quaités critiques. Elle n'est pas très très intellectuelle, mais au moins, elle en a conscience. Et elle assume!
...domestiques:
- Meg adore voyager. C'est une des raisons qui l'a poussée à s'engager dans le cinéma. Elle n'a donc pas vraiment de chez elle. Elle aurait bien amé avoir un animal de compagnie, mais ce n'est pas toujours pratique à transporter. Aussi s'est-elle achetée une plante verte, lors d'un tournage à Bollywood: un theier, qu'elle transporte partout où elle emménage, dont elle prend grand soin et qu'elle arrose soigneusement. Allez trouver ça ridicule si vous vous voulez, mais elle lui a même donné un nom. Elle l'a baptisé Bono, en référence au chanteur de U2.
- Autre chose qu'elle a ramené d'Irlande et qu'elle s'arrange pour voyager partout avec: la Harley de son père. Elle a dut se battre avec sa mère pour en heriter mais elle a finalement eut le dernier mot. Il n'y a rien de tel aux yeux de Meg que de rouler avec, d'en prendre soin, l'entendre ronronner à tout va...Grrrrr...

Ce que les autres ne savent pas forcément :

- Son rapport à la religion: A l'entendre plaisanter à ce sujet, critiquer l'Eglise et les pratiquants, et parfois même les principes de la foi, on ne croirait pas qu'elle est elle-même croyante. Et bien si. Elle a juste pris ses distances vis à vis des religions à proprement parler: elle n'est ni protestante, ni catholique, ni juive, ni musulmane, ni hindoue ou boudhiste, elle est juste croyante. Pour elle, la foi est plus un mode de vie, une façon de mieux faire les choses et de progresser qu'une série de régles et de restrictions, d'interdits et devoirs à respecter. N'étant d'aucune religion et de toutes à la fois, elle se permet donc de se moquer d'elles, car pour elle, l'humour et la meilleure forme de critique, et la critique et la meilleure forme de progrès...

V. Conclusion

Avatar : Avril Lavigne

Pseudo : Lady Beard
Garçon ou fille : Fiiiiiille!
Où avez-vous connu le forum ? J'y étais déjà inscrite avant le grand ménage de fin de printemps. ^^
Commentaires : J'adore le nouveau design! Meg M. Anderson [Terminée] 735942

Il fait très "vacances", ça met un peu de soleil dans nos bureaux... ^^

Je vois que tu as gardé l'ancien modèle de fiche Wink

Je te valide, tu veux un ménage dans ta présentation ?

Merci et non merci. J'aime bien avoir l'impression d'avoir des amis.