Quincy Fitzgerald ; Indéniable construction.

I. Carte d’identité

Nom(s) :

Ce nom de famille doit obligatoirement éveiller en vous une légère réminiscence, non ? Vous avez oublié votre cours d'histoire sur les présidents américains ? J'espère pour vous que vous n'auriez pas osé. Notre jeune héroïne porte donc le même nom que John Fitzgerald Kennedy, ancien homme politique des Etats-Unis, d'origine irlandaise. Suite au divorce de ses parents, la mère de Quincy a souhaité qu'elle arbore son nom, Johnson. Catégorique sur sa décision, notre héroïne a gardé le nom de famille de son père, fidèle à sa mémoire bien qu'elle n'ait pas partagé une grande quantité de souvenirs en sa compagnie. Depuis l'année de ses dix ans, Quince n'a plus jamais de nouvelles de son paternel, déchirée par cette séparation. Elle nourrit l'espoir d'un jour le retrouver, malgré la réticence de Kathryn Johnson et de son fils aîné.

Prénom(s) :

Son premier prénom n'est autre que celui de son grand-père paternel qu'elle n'a jamais connu. Les parents ont une conception de l'hommage réellement étrange, ils nomment leurs enfants, comme leurs parents. Je ne tente même pas de démontrer ce fait. Pourtant, Quincy respecte tout à fait cela, car son père était très attaché à cette appellation. Je pense que vous avez pu remarquer que le prénom de la petite irlandaise n'est pas vraiment féminin. Qu'importe, ce nom mixte, vraisemblablement plus masculin, ne la gêne vraiment pas. Pour le second, la bizarrerie demeure. La boîte de Pandore... Relisez vos classiques mes chers ! Pandore était une femme à laquelle l'un des dieux grecs confia une jarre, plus communément appelée une boîte. Au sein de celle-ci, la Vieillesse, le Travail, la Maladie, la Folie, le Vice, la Tromperie et la Passion, ainsi que l'Espérance étaient enfermés. La jeune fille avait pour interdiction de l'ouvrir, mais son insatiable curiosité prit le dessus et tous ces maux s'en échappèrent. L'espérance, relativement lente à réagir, resta dans la jarre que Pandore referma.

Surnom(s) :

Le cercle d'amis de Quincy à Naples ne lui permet pas d'avoir des surnoms affectifs. En effet, encore ancrée par la solitude, la jeune femme ne trouve personne qui oserait un jour l'appeler d'une toute autre façon que par son prénom ou son nom de famille. Connue par quelques habitants en tant qu'étudiante, Quincy est souvent mentionnée dans les conservations par son simple nom de famille, un surnom peu affectif, dirait-elle, mais ceci lui convient.

Âge :

Née effectivement aux débuts des années quatre-vingt, Quincy est tout juste âgée d'une vingtaine d'années environ. Aussi, cette jeune femme a toujours démontré une maturité rare, dès son plus jeune âge. Toujours aussi sage et réfléchie, ses décisions sont souvent suivies au pied de la lettre.

Date et lieu de naissance :

D'après sa date de naissance, la petite blonde est donc née sous le signe du Lion. Si vous présentez quelques connaissances en astrologie, Fitzgerald présente les grandes caractéristiques morales et physiques qui correspondent au royal félin dans l'astrologie.

Nationalité :

Étrange pour une résidente de Naples d'être née à l'opposé du continent, non ? Comme vous pouvez le constater, son père d'origine irlandaise a offert un magnifique voyage de noces sur son île natale à sa chère petite femme, alors enceinte de Quincy. Cette dernière a donc eu l'honneur de naître en république irlandaise.

Occupation :

En effet, Quince est une brillante étudiante en langues étrangères. Elle excelle surtout en italien et en français. Aussi, pour payer ses études poussées, elle se glisse de temps en temps dans le rôle de mannequin pour petites marques. Organisée, non ? Pourtant impliquée dans ses études éprouvantes, es dernière ne l'aident pas à étouffer la dépendance économique qu'elle a vis à vis de sa mère. Celle-ci n'a jamais approuvé ses décisions, favorisant son grand frère, brillant.

III. Détails supplémentaires

Particularités :

« Tout le monde présente des tics et des manies, non ? »

En effet, Quincy en possède plus d'une. Elle a sûrement le rituel de passer sa main dans ses cheveux et de les regrouper machinalement sur son épaule droite. D'où cela provient ? Je vous renvoie la question. Vous verrez aussi la jeune femme mordant sa lèvre inférieur. Ceci est un léger signe de provocation qui se mêle à de la réflexion. Pratique, non ?

« Je possède des goûts raffinés et variés. Brun, blond, grand, musclé, ... Ah ! Nous ne parlons pas des hommes. Heureusement, j'aurai sûrement écrit tout un paragraphe sur mes goûts masculins. »

La musique occupe une grande place dans la vie de Quince ; vous la verrez rarement se promenant sans son lecteur multimédia. Sans son téléphone mobile aussi d'ailleurs. Effectivement, ce petit appareil servant à la communication n'entre pas souvent dans le domaine des passions des gens mais pour Fitzgerald, c'est un peu ça. Elle est sans cesse en train de vérifier ses messages, ses appels et ne peut pas passer quelques minutes sans y jeter un coup d’œil. Bien sûr, lorsque quelque chose de plus intéressant entre dans son champ de vision, elle n'y pensera plus une seule seconde. Pourtant, la seule chose plus intéressante que son portable, n'est rien d'autre que les hommes. Etrange passion dirait-on... Comme cités plus haut, le lecteur multimédia et le téléphone mobile de Quin' sont ses plus fidèles compagnons. Qui a-dit que c'était le chien le meilleur ami de l'homme ? Décrivons maintenant, son second acolyte, son sac à main. Une trousse de maquillage comportant un eye-liner, un tube de gloss et un de mascara trône dans une poche annexe de son sac. Un minuscule miroir accompagne la panoplie. Son portefeuille et les papiers importants sont triés méticuleusement. Son trousseau de clefs est facilement accessible, en cas de besoin. Un paquet de cigarettes, marié à un briquet plein, traînent toujours dans la sacoche de Q. Depuis un mois, Fitzgerald a recommencé à fumer intensément, pour s'évader, oublier la pression.

Ce que les autres ne savent pas forcément :

L'intensité est telle qu'elle ne vous contera pas ses souvenirs de si tôt. Pourtant, sans gênes, parler de ses ex' petits amis ne la dérange en aucun cas.

Et oui, ce n'est pas bien ! En soirée, elle arrive à piquer une cigarette à quelqu'un pour simplement se faire plaisir. Elle n'en est pas addicte mais une de temps en temps, entre amies, ne lui déplaît pas.

Enfantin dirait-on... Pourtant, cette pensée n'obsède pas non plus la jeune irlandaise qui a bien pris conscience que ceci ne se réalisera jamais.

En effet, à la suite d'une soirée arrosée, elle s'était retrouvée avec son petit-ami dans la chambre au-dessus d'une discothèque et le préservatif était resté bien gentiment dans le sac à main de Quin', bien trop joyeuse pour y penser. Heureusement pour elle, elle n'a attrapé aucune maladie par ce rapport sexuel non protégé et s'est très vite rendu compte de son début de grossesse. Par méthode médicamenteuse, elle a avorté. Cette histoire l'a gravement marquée.

déteste le fait que des femmes n'arrivent pas à s'accepter ou se prendre en main pour changer. C'est vrai qu'elle, elle n'a pas tellement besoin de songer à une opération de ce genre et n'a pas tellement réfléchi à la situation de mal à l'aise des personnes qui ont recours à ces chirurgiens.

La pauvre, étant petite, s'est retrouvée avec des aphtes qui lui plafonnaient la bouche. Depuis ce jour, la jeune femme n'a plus jamais touché à ce fruit exotique. Dommage pour elle, elle rate quelque chose !

Comme toute femme qui se respecte, elle apprécie les « bad boys » et tombent rapidement sous le charme de ces mystérieux. Les Don Juan ne lui déplaisent pas non plus.

En effet, si vous pénétrez dans son appartement ou sa chambre à l'université, même à l'improviste, tout sera bien rangé. Elle range, certes, mais ne croyez pas qu'elle fait le ménage quand même. Elle emploie une technicienne de surface pour nettoyer son logis.

Lorsqu'elle avait seulement quatorze ans et qu'elle partait en voyage avec sa mère et son frère, un camion a poussé l'énorme 4x4 dans un fossé. Hors, le véhicule a fait deux tonneaux avant de s'immobiliser à l'envers dans le trou. Heureusement, cette collision sans gravité n'a causé que quelques blessures superficielles.

Agaçant de savoir que cette jeune femme est presque parfaite de nature, non ? La petite blonde a une chance importante d'avoir ce physique. Avouez tout de même que personne ne souhaiterait avoir un caractère pareil...

IV. Autres

Allure

Quincy est une jeune femme de petite taille munie de cheveux longs d'un blond légèrement chocolaté. Sa chevelure mi-bouclée, qu'elle lisse souvent, est souvent attachée pour éviter qu'elle ne dévale son dos. C'est une magnifique jeune fille. Elle est très menue et a beaucoup de formes, mais ce n'est pas pour cela qu'elle n'est pas proche de la perfection autre part. Sa beauté reste préservée dans son visage fin et expressif. Ses joues sont légèrement rondes et ses yeux, plutôt petits. Ils sont d'ailleurs d'un bleu tournant au gris. La peau de Quince est peu bronzée, mais réellement douce. Elle aime beaucoup s'occuper d'elle et y consacre beaucoup de temps. L'irlandaise est pratiquement abonnée à son institut de coiffure et de soins corporels et passerait des heures dans la salle de bain à se maquiller.

Style

Mademoiselle Fitzgerald s'habille toujours très bien. Elle fait attention à l'image qu'elle donne, sans tomber dans le superficiel. Elle peut se permettre de s'habiller avec les vêtements de grands créateurs internationaux ou encore d'habits de haute-couture grâce à l'immense fortune de sa famille. Pourtant, la petite irlandaise affectionne plutôt la simplicité, sans vanter son argent abondant. Elle sait se vêtir convenablement et garder une élégance habituelle. Les robes et les jupes qu'elle porte affinent sa silhouette déjà mince et montrent bien ses formes généreuses. Pendant les soirées ou autres galas mondains, Quince retiendra toujours toute l'attention à son entrée dans la salle, grâce aux magnifiques robes de soirée qu'elle possède.

V. Conclusion

Avatar :

Romola Garai.

Pseudo :

Misery Business.

Garçon ou fille :

Fille.

Où avez-vous connu le forum ?

Partenariat.

Commentaires :

Contexte simple, mais intéressant avec un contexte estival et agréable.

Bienvenue

Quincy Fitzgerald ; Indéniable construction. 789627

Je réserve le vava Razz

Bienvenue

Quincy Fitzgerald ; Indéniable construction. 845472

Merci à vous deux.

Welcome here Smile

Han J'ADORE Romola Quincy Fitzgerald ; Indéniable construction. 165841

Qui s'en fou ? Oh, autant de monde ? Je me tais alors

Bienvenue

Bienvenue parmi nous !

Merci vous trois.

Duh

Pandi-Panda Quincy Fitzgerald ; Indéniable construction. 783831

Bienvenue

Hiiiii !

Merci.

Ça avance vite par ici ! Bienvenue !

Welcome

Welcome

Fallait que je le dise mais Quincy ça me fait penser à Joe Black Quincy Fitzgerald ; Indéniable construction. 845472

II. Biographie

Contexte familial :

Wicklow, Irlande, vingt-cinq janvier 1989.

Peter ? ... Peter !

Boooooooo !

Un cri strident retentit dans la riche villa des Fitzgerald, enracinée dans les rues grises de Wicklow. Des bruits de pas légers se firent pourtant entendre dans le couloir principal. Une porte claqua. Le jeune Peter, âgé d'une dizaine d'années, suivit sa petite sœur, apeurée. Il souriait, un dessin parfait courbait ses dents grises, extrêmement acérées. D'une course silencieuse, il atteint la chambre de Quincy et frappa de son poing blanc sur le bois vernis. Après quelques instants, il retira le dentier effrayant qui représentait des dents de vampire ensanglantées, la cause de la frayeur de la jeune enfant. L'aîné des Fitzgerald assaillit à nouveau la porte de violents coups.

« Tu ouvres, oui ou non ? »

Il tambourinait aussi sur la poignée.

« Tu l'auras voulu ! »

Peter poussa violemment la porte, éjectant sa jeune sœur un peu plus loin. Celle-ci se redressa calmement, une main protégeant son crâne, enroulée dans ses cheveux chocolatés. Tremblante, elle leva les yeux vers son frère, qui souriait cruellement. Quince laissa échapper un sanglot avant de renifler brièvement.

« Tu n'es qu'une pauvre trouillarde, tu m'fais honte ! »

D'un rapide geste de la main, Peter frappa violemment sa petite sœur sur sa joue blanche, qui ne tarda pourtant pas à virer au rouge. Cette atteinte furtive doucha la cadette des Fitzgerald qui demeurait immobile, les yeux vides. Elle venait de subir la violence de son frère, de celui qui partageait sa maison, sa chambre, sa vie. Bien qu'elle n'ait pas de rapports très poussés avec lui, la jeune enfant ne comprenait pas ce geste cruel. Les larmes dévalèrent le visage meurtri du petit bout de femme, adossée contre le mur peint d'une couche anis. Des bruits de talons et une voix aigüe troublèrent les pensées de Q, qui pourtant n'arriva pas à déchiffrer les mots de la simple phrase qui retentit. Peter s'empressa de pousser la petite blonde, comme brisée et dépourvue de muscles valides, sur son lit défait avant de s'éclipser silencieusement. Le dernier regard qu'il jeta à l'enfant désarçonna un peu plus encore celle-ci, hébétée.

Wicklow, Irlande, trente et un mars 1993.

Feignant d'être froide et dure, de ses yeux basculant du vert au bleu, Quincy fixait son frère. Elle essayait en effet de lui faire comprendre où elle voulait en venir. Peter réagit rapidement et, un sourire narquois dessiné sur ses lèvres harmonieuses, il décréta ses quelques mots, blessants et pourtant nécessaires pour lui, pour lui-même, cruel.

« Maman, Quince a eu une mauvaise note aujourd'hui, elle comptait vous le cacher. »

La jeune mère tourna brusquement son visage angélique en direction de sa fille, fidèle reproduction d'Ashton Fitzgerald – père absent. Elle fronça les sourcils, rien de plus. La petite blonde, après avoir poussé un énorme soupir en remerciant ironiquement son frère, attendait la sentence de Kathryn, amère.

C'est vrai c'la, Quincy ?

Oui

répondit l'enfant dans un murmure, subitement obnubilée par son assiette d'haricots vers, préparés par la bonne chinoise au-pair, employée de la noble famille

Il ne faut pas que tu nous caches des choses, chérie

Ce surnom affectif sonnait pourtant faux entre les dents de la froide Madame Fitzgerald. Après un léger silence, Q se risqua à relever le yeux, sa mère recommença de plus belle, d'une voix plus douce qu'auparavant.

« Tu aurais dû nous le dire. ... Enfin, ne t'inquiète pas, nous avons toujours su que tu n'égalerai jamais ton frère. »

De sa démarche impériale, Kathryn Fitzgerald vint embrasser son enfant sur le front, ses lèvres froides grincèrent sur le visage de Quincy, décontenancée. Son regard se perdait à contempler la tapisserie brune, douchée. Les paroles de sa mère l'avaient paralysée. Quelle femme aurait osé dire cela à son enfant, sa propre fille ? Un sourire illuminait pourtant les lèvres de l'avocate.

« Finis de manger, ton plat va être froid. »

Anecdote de la vie actuelle :

» Eva Mandez . Under Construction