Nolan Priestly (U.C)

NOLAN HEATHER PRIESTLY

I. Carte d’identité

Nom(s) : Priestly
Prénom(s) : Nolan Heather
Surnom(s) : La plupart de ses amis l'appellent simplement "No" ou plus fréquemment "Nolly", mais elle ne porte aucun surnom plus spécial que celui-ci.
Âge : 23 ans
Date et lieu de naissance : Le 24/08/1984 dans la Grande ville de New York.
Nationalité : Amercaine
Occupation : Sans occupation pour le moment.

II. Biographie

Contexte familial :

New York. Août 1984

«Bienvenue dans notre monde...Nolan»

Alexis Priestly tenait dans ses bras un bébé, les yeux fermés et quelques cheveux sur le Crâne. Sa fille. Nolan. Elle la regardait d'un regard si tendre qu'on aurait pu croire qu'elle avait déposé dans ses bras tout l'amour et toute la délicatesse du monde. Elle leva ensuite les yeux, et posa son doux regard vers son Mari. Pas besoin de mots, ce regard voulait tout dire. On s'occupera d'elle, On l'aimera. On l'aime déjà. Alexis et Samuel Priestly étaient des parents heureux, ils avaient toujours rêvé d'avoir des enfants. Trois enfants. Deux ans plus tôt, la jeune mère alors âgée de vingt-deux ans seulement, mettait au monde un jeune garçon. Oliver. Aujourd'hui naissait Nolan, une enfant (une future jeune femme) qui était promise à un avenir heureux, il en était sûr. Les deux jeunes parents avait "offert" à leur premier fils une éducation assez stricte avec ses principes mais aussi ses écarts, et se trouvait très heureuse de l'évolution de leur progeniture, aujourd'hui âgé de 2 ans. Alexis était une mère très protectrice et fusionelle avec ses enfants. Samuel remettait parfois les pendules à l'heure, mais il restait néanmoins un père très câlin et particulièrement joueur.

Bronx. Février 1988

Durant le mois de Février, la jeune Alexis mit au monde son dernier enfant. Car oui, il avait été clair: Lilly serait leur derniere enfant. Une fille. Née prématurément, elle était fragile comme une poupée en porcelaine, et toute la famille prenait soin d'elle avec une telle attention qu'on en aurait cru l'objet le plus précieux du Monde. Nolan avait alors quatre ans. Elle n'avait jamais été d'un naturel jaloux, même toute petite: Voir ses parents accorder plus de temps à son grand frère quand il s'agissait de l'école ou d'autres détails ne l'inquiétait pas. Il semblait déjà souffler en elle un vent de liberté et d'indépendance. Enfin bon, elle n'avait que quatre ans. Aussi, quand arriva dans la maison sa jeune petite soeur Lilly, notre jeune Nolan ne perdit pas son temps à jalouser l'attention qui lui fut porter, les câlins dont elle avait droit le soir ni même les franches parties de rigolades entre sa mère et elle. Un bébé aussi petit se devait de recevoir la pllus grande attention du Monde, et Nolan le savait. Si bien que, lorsque sa petite soeur pleurait la Nuit, Nolan sortait elle-même de son lit pour aller la caresser dans son berceau, pour le plus grand bonheur de ses parents. Ils avaient grandi dans l'amour que leur portaient leur parents, avec une autorité prononcée et des principes certes, mais toujours dans l'idée de vivre heureux et dans un cercle familal bien formé.

Nolan avait toujours aimé se vanter d'avoir connu ce Respect et cette douceur durant toute son enfance, qui ont d'ailleurs fait d'elle une adolescente assez Simple. Au collège comme au Lycée, la Jeune Priestly avait sa bande d'amis avec qui elle faisait les 400 coups et ne se mêlait pas de la vie des autres. Elle avait toujours, presque contre son gré, existé au yeux de tous, par ce qu'on appelle la "popularité", Mais n'était jamais entrée dans les Histoires des uns et des Autres. Elle avait connu beaucoup de garçons, sans plus d'amour que ça. Nolan ne tombait pas facilement amoureuse, elle avait eu quelques "copains", plus des aventures que de vrais histoires. La période qui avait suivis l'enfance avait coulé assez limpidement, avec tous les hauts, les bas, les erreurs et les réussites de l'Adolescence, bien-sûr. Ses parents avait du resserrer l'éducation qu'ils lui portaient plusieurs fois lorsqu'elle s'écartait trop des valeurs qui lui avaient été inculqués, mais (et Cela même si elle avait sans aucun doute insulté son père plus d'une fois) elle avait toujours porté un immense respect envers eux. Elle savait que cette autorité venait du fait que son grand frère n'avait pas été facile dans la période "Lycée", trainant beaucoup avec de mauvaises fréquentations, ignorant leurs parents... Il s'était attiré de gros ennuis, et toute l'admiration que Nolan avait toujours porté à Oliver n'avait jamais cessé malgré ses erreurs et ses problèmes. Cependant, elle ne voulait pas subir les mêmes remontrance, et éviter le plus possible de se faire remonter les bretelles régulièrement comme le vivait pratiquement tous les soirs l'aîné.

Italie. Mars 2004

«Je sais qu'on s'en fou, mais tu penses quand-même pas que le vert suit plus avec le bleu qu'avec le jaune? »

Nolan leva les sourcils vers le Ciel. Cela devait faire plus d'une heure que son frangin discutait de sa tenue, Celle qu'il allait porter ce Midi, lorsque toute la Famille irait déjeuner chez une autre famille. Celle d'Emily, la petite amie d'Oliver. Il semblait que pour le jeune garçon de vingt-et-un an, aujourd'hui était à la fois le plus beau, le plus important et le plus stressant jour de sa vie. Il vivait en Italie depuis ses dis-huit ans, parti faire ses études là-bas. Il avait rencontré Emily l'année même, et trois ans après cela, il faisait déménager sa famille Américaine dans ce doux pays pour leur présenter la "Bella" de son Coeur. Cette situation amusait beaucoup Nolan. Elle n'avait que deux ans de moi que son frère et le voir Paniquer pour une Cravate... Non franchement, c'était hilarant. Depuis au moins une heure, il tentait d'assortir la couleur de sa cravate à celle de cette chaussette (Couleur évidemment assortis à ce qui lui servait de Caleçon).

«Aucun des deux ne suit l'un avec l'autre Oliv', d'accord ?»

Nolan farfouilla dans lâ montagnes de Fringues qu'Oliver avait éalé sur son lit d'Hôtel, et lui mis dans les mains une paire de chaussette beige et une cravate de la même couleur

«Mais mon Caleçon est ve...»

«ON S'EN FOU DU CALECON ! Personne n'est censé voir ton Slip aujourd'hui, pas vrai ?»

«Oui ? »

«Tout se passe bien Chérie? Je voulais savoir, comment on s'organise pour aller là-Bas, Oliver prend sa voiture et t'emmène, c'est ça? Vous êtes toujours à l'Hôtel?J'espère qu'il ne pique pas une crise pour assortir son caleçon à sa cravate...»

«Non Maman, t'en fais pas. Oui, on va prendre la voiture d'Oliver, on vous rejoind là-bas. Tentez de ne pas arriver avant nous, J'imagine bien la tête d'Emily quand elle verra débarquer ses futurs beaux-parents sans son futur-Mari ...»

«On part à Midi et quart. Organisez-vous pour arriver avant nous.»

Merde, il était déjà Midi, et Oliver n'était même pas sorti de la salle de bain. Il n'était pas coiffé non plus, d'ailleurs. Ils devaient partir dans cinq minutes et son stupide frangin était en Retard pour ce jour si important. Elle frappa à la porte, criant qu'ils fallaient qu'ils partent. Le moteur se mit en marche à Midi Seize seulement. Nolan se repassait la scène de ses parents arrivant avant eux, et elle ne pouvait s'empêcher d'en rire, ce qui dérangeait plus que tout l'Aîné des enfants Priestly.

«Tu n'avais qu'à être à l'heure, Olichou»

Son frère appuya sur la pédale d'accélérateur. Les limites de vitesse étaient oubliées. Le coeur de Nolan battait de plus en plus vite, Oliver roulait beaucoup trop rapidement, et ce n'était pas pour la rassurer.

«OH, Vaut mieux arriver en Retard que ne pas arriver du tout Oliver, ralentit ! »

BAM. La voiture d'Oliver percutait une autre, qui ne leur avait pas laissé la priorité. Le coeur battant à mille à l'Heure, Nolan rouvrit les yeux après quelques minutes d'inconscience. Du monde s'agglutinait autour d'eux, elle entendit des Cris. L'alarme de l'Ambulance résonna, elle voulu crier qu'il ne fallait pas s'inquiéter, qu'elle allait bien. Mais elle tourna le tête vers le Conducteur et cria à son Tour. Son frère, dont on ne reconnaissait même plus les traits de visage, ne bougeait plus. Le visage en sang, il était plus qu'inconscient. Il était mort. Nolan cria, un cri qui du résonner dans l'Univers entier, et réveiller les personnes qui dormaient encore dans la Ville. Elle cria, sans voir la fin de son cri, sans même savoir si un son sortait de sa bouche. Mais elle criait de toutes ses forces, comme si elle crachait son âme hors d'elle, comme si ce cri pouvait réanimer son frère, comme si il allait se lever, la regarder droit dans les yeux et lui dire que tout allait bien, qu'il allait bien. A cet instant, elle aurait donné sa propre vie pour que son frère lui demande d'arrêter de crier. Mais rien. Juste ce cri au milieu de la ville, dans une voiture écrasée. Le jour le plus important de Sa vie. En Italie. En Mars 2004.

Anecdote de la vie actuelle :

«Mais Merde Dan, fais pas la Chochote ! »

La situation était à mourir de rire. Ce n'était plus la première fois que Nolan gardait Matteo lorsqu'Aidan sortait. C'était une si bonne nourrice qu'il l'avait fait revenir plusieurs fois ( ) Ce soir là il était revenu plus tôt, et Nolan n'était censée rentrer cher elle qu'à 1 heure du matin. Il devait être environ vingt-trois heures. La jeune femme n'avait pas questionné Aidan sur sa soirée. Ce n'était pas son travail, et elle ne voulait pas s'imicer dans sa vie. Il n'empêchait que revenir d'une soirée pour devoir tenter et retenter de mettre une couche à son fils prouvait qu'il n'avait pas du s'amuser énormément. Voir Aidan s'occuper de ce petit garçon faisait rire la jeune Priestly. Il était plutôt à l'aise en fait, mais l'étape "Couche" n'étais certainement pas son truc. Alors, Nolan le forçait à s'y coller, rien que pour voir sa moue si spéciale. Tellement mignon. Il était vrai qu'Aidan était un garçon du genre... Attirant -Cela étant prouvé ne serait-ce que par le nombre de nourrice qui se battait pour s'occuper de Matteo- et Nolan n'avait aucun mal a être attendri par le sourire qu'il lui accordait souvent. Elle commençait à connaître Aidan, en estimant que cela faisait plus d'un mois ou deux qu'elle s'occupait régulièrement de son fils, et le courant avait assez bien passé entre eux. Une armée de nounou plus douées les unes que les autres se battaient sûrement en duel pour avoir la Chance de changer la couche d'un môme de cinq mois, et Nolan était arrivée innocemment et naïvement à la tête de l'Armée, présente presque tous les deux jours pour le père et le Fils. A la suite de ces mots, un sourir se dessina contre ses lèvres, qui se transforma rapidement en rire. Matteo commençait à s'eimpatienter, quelques cris masculins se faisaient entendre dans la pièce.

«Râleur, comme son père»

Elle esquissa un sourire, elle aimait assez le taquiner ainsi, et elle ne s'en privait pas. L'enfant se mettait à pleurer, et Aidan avait fait mine d'être vexé par la taquinerie de Nolan. Elle posa son main contre son épaule et lui adressa un clin d'Oeil. Elle se remit alors de suite aux explications. Etre parent, ça s'apprend !

«C'est pourtant simple, tu enlève la couche, tu nettooooies, et tu remets une toute propre ! »

«Ouais mais déjà, comment t'enlèves ce machin? »

Nolan rit de plus belle.

«C'es craquant quand tu t'énerves Aidan»

Elle le regarda dans les yeux et lui adressa un petit clin d'oeil amical, et il répondit par un sourire.

«Je te dirais bien que t'es craquante quand tu changes les chouches Nolly, mais ya plus Glamour quand-même »

La jeune femme grimaça et tira la langue. Elle prit Matteo des bras d'Aidan, carssant légèrement sa main au passage, et l'installa pour le changer. Elle fit mine de ne plus voir Aidan et changea la couche de Matteo, le regardant gazouiller innocemment, sans se douter que quand il serait grand, il comprendrait ce genre de discution. Mais pour le moment, il se contentait de machouiller son poing avec malice. Oui, il avait déjà cet air malicieu q'uAidan avait en permancence, ce qui n'enlevait rien à leur Charme. Au père comme au fils. Elle enfila au petit le pyjama bleu qu'il avait et l'installa délicatement dans son berceau, sans que celui-ci ne bronche un seul. Il ne se passa alors pas plus de cinq minutes avant qu'Aidan s'empare des hanches. de la jeune Priestly. Tous les deux appuyés contre le vaste berceaux, alors que les yeux de Matteo se fermaient déjà naïvement, ils regardaient l'enfant tendrement, un fin sourire dessiné au coin de lèvres. Nolan se retourna et regarda Aidan.

«Arrête, on dirait deux parents attendris par leur progéniture»

«Bah, c'est plutôt mignon, non ? »

«Ouais, mais dans ce cas y faudrait considérer qu'on est en Couple, peut-être même mariés...»

Et ce fut comme si cette idée en avait engendré d'autres dans l'Esprit d'Aidan et de Nolan, celle-ci celle-ci s'emparant des lèvres du Grand brun. Ils se dirigèrent vers la Chambre innocemment, s'embrassant pour la Première fois. Une chose était sûr, Nolan ne repartirait pas chez elle ce soir.

V. Conclusion

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Pseudo : Justine
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Où avez-vous connu le forum ? J'y étais inscrite avant =)
Commentaires : J'adore le Nouveau Design !

Et oui, encore une Justine
Merci vous deux

III. Détails supplémentaires

Particularités :

Lorsqu'elle vivait aux Etats-Unis, Nolan (en dehors des heures où elle travaillait dans un restaurant de New York) gardait des enfants régulièrement. Tous les week end, elle louait -gratuitement, par la bonté inconditionnelle de son grand frère- l'appartement d'Oliver, et y amenait une dizaine de Bambins pour s'occuper d'eux pendant deux Jours. Elle était du genre "On est copains, mais n'abuse pas". C'était, pour elle comme pour les enfants, de franches parties de rigolades en perspective, comme s'il semblait que la jeune femme n'ai jamais grandi lorsqu'elle s'occupait de toute cette armé.

Nolan n'est pas de ces personnes a avoir énormément d'amis. Elle a toujours estimé que les personnes sur qui l'on peu vraiment compter son particulièrement rares, et elle perd tout de suite confiance en quelqu'un qui l'a trahie ne serait-ce qu'une seule fois. Très rancunière, la Jeune Priestly n'accord sa confiance et son estime qu'une seule fois. Si c'est perdu, ça n'est pas récupérable. De nature très rancunière, Nolan avoue qu'elle préfère ne pas avoir une bande d'amis trop élargie, même si la solitude ne lui convient absolument pas. En Italie, elle a trouvé des personne chère à son Coeur, et elle se trouve assez Heureuse de les savoir sincère envers elle, la sincérité étant primordial dans n'importe quelle relation pour Nolan Priestly.

A l'heure Actuelle, Nolan n'hérite d'aucuns tics particuliers, et elle s'en réjouit. Cependant, lorsqu'elle était plus jeune, et elle ne s'en cache absolument pas, elle avait la fâcheuse manie de tout faire par trois. Imprimer trois fois la même page, monter le volume d'une musique en trois fois, prendre trois fourchettes de pâtes, verser trois filets de sauce et ainsi de suite. Elle se rendait compte de ce qu'elle faisait, mais elle n'y prêtait pas attention. Lorsque cela commença à inquiéter ses parents (et à attirer les moqueries de son grand Frère) elle se demanda ce qui lui arrivait, et tenta dès lors de cesser ces actes. Heureusement pour elle, elle y parvint sans trop de difficultés.

Alors qu'enfant, Nolan s'occupait de sa jeune soeur comme d'une poupée en porcelaine, elle changea radicalement de comportement lorsque l'âge adolescent arriva. Elle devint très jalouse à l'égart de son père plus particulièrement, estimant qu'il portait plus d'attention à Lilly qu'à elle-même. En même temps, lorsqu'à seize ans on trouve injuste que son paternel aide sa fille cadette à faire ses devoirs, c'est un peu irrationnel. Nolan avait toujours eut une immense complicité avec Oliver, et elle ne se rendait pas compte que ce lien fusionnel faisait souffrir Lilly. Lorsqu'elle l'appris, trouvant sa petite soeur en pleurs, blottie contre son oreiller, elle lui promit de ne jamais la mettre à l'Ecart. Elle était comme ça Nolan, ce n'était pas une grande Soeur difficile, et voir les gens qu'elle aimait malheureux, c'était un remède à n'importe quel défaut qu'elle pouvait avoir.

Ce que les autres ne savent pas forcément :

Caché dans le tiroir de son appartement en Italie, une vingtaines de dossiers s'écrasent les uns contre les autres. Leur existence, inconnue de tous hormis de Nolan, n'est pourtant pas un secret à la base. Passionnée de cuisine depuis l'Adolescence, la jeune Priestly récupère et stock tout ce qu'elle peut trouver à ce Sujet. Des recettes, des plans pour son futur restaurant, des idées déco, des idées de plats, parfois même des photos de ceux qu'elle a essayé, des magasines culinaires, des adresses et des numéros de contacts, sûrement, tout cela tassé dans un tiroir vérouillé à clef. Non pas pour préserver le Secret (Après tout, quel secret?) mais pour être sûr que personne ne viendra un jour mettre ses mains dans ce qu'elle aime par dessus tout. Simplement.

La mort du frère de Nolan fut pour elle une grande Epreuve. Elle n'en parle jamais, et rares sont les personnes qui sont au courant de ce qui s'est passé, mais se remettre de ce décès fut très difficile pour la Jeune femme. Considérant Oliver comme son meilleur ami (Outre le fait qu'il soit son Frangin), son absence se sentit dès les Premiers Jours. Nolan n'est pas une femme à la larme facile, mais elle ne cesse de répéter que dans son corps, c'est comme si tout était sec, comme si elle avait pleuré tout l'eau qui circulait en elle, comme si jamais elle ne pourrait pleurer. Cette Epreuve, bien qu'horriblement difficile, la rendit plus Forte. Ce qui ne tue pas rend plus. Elle sait depuis cet accident (Ce qu'elle ne savait pas faire avant) la différence entre ce qui est important et ce qui ne l'est pas, ce qui mérite d'être regretté, ou pas.

Venir vivre en Italie n'était pas dans les projets de Nolan. Cela ne l'avait jamais été. Seulement, après la mort de son frère, la jeune Priestly se rendit compte qu'il avait vécu ici toute sa vie, qu'ici même il avait rencontré l'Amour, et c'est comme si -non pas qu'elle se soit sentie obligée- son coeur n'avait eu de cesse de lui répéter qu'à présent, c'est dans ce pays de la Dolce Vita qu'elle devait faire sa Place. Ou prendre la Place de son frère. Tous les deux aimaient la Cuisine. Ils n'avaient jamais parlé du projet de créer un restaurant ensemble, même si Nolan avait glissé l'idée plusieurs fois, mais elle estimait devoir réaliser les rêves qu'il aurait voulu réaliser lui-même. Tout cela inconsciemment, elle avait fait ses valises en deux semaines et avait quitté New York sans un regret, laissant derrière elle ses parents, effondrés par la mort de leur fils, et sa jeune soeur Lilly, dont elle s'occupait pourtant depuis sa Naissance. Mais elle leur avait promis: Un jour elle reviendrait, elle reviendrait chercher Lilly au collège et la conseillerait au sujet des Garçons, elle reviendrait faire des bons petits plats à ses tendre parents, et elle reviendrait embrasser sa ville Natale de bon Coeur. Mais quoiqu'il en soit, aujourd'hui, sa place était ici, en Italie, à Naples. Elle en était dorénavement plus que certaine.

IV. Autres

N'empêche Aidan il se tape des canons Nolan Priestly (U.C) 845472

Aidan Tomasi a écrit:: N'empêche Aidan il se tape des canons

C'est à se demander ce qu'elles lui trouvent...

Arrête de faire ta jalouse

Mais c'est parce que c'est Aidan, c'est tout
Bon, il ne me reste plus que l'Anecdote, je voudrais la faire au sujet d'Aidan et Nolan, mais je ne sais point quel moment choisir

Tu as trouvé Nolan Priestly (U.C) 845472

Par contre entre le moment où ils posent le gosse sur la table à langer et ils vont dans la chambre le petit ils en font quoi ? Nolan Priestly (U.C) 701585

Pauvre gamin tu sais Nolan Priestly (U.C) 701585

Nan mais je trouve ça pourri ce que j'ai écrit
Nooooon mais j'ai pas fini T'as cru que j'allais laissé le petit agoniser tout seul pendant que les deux s'envoeint en l'air?

On sait jamais Nolan Priestly (U.C) 566774

T'inquiète je gère
Bon, je pense avoir fini ma fiche

Tu ne mets rien dans la partie autres ?

Baaah je pensais mettre les Liens, mais en fait je le mettrai dans mon "Profil" donc non, je mets rien. Si je veux ajouter quelque chose je le ferai peut-être un jour, qui sait? Mais c'est pas grave, si?

Nan c'est facultatif Razz

Je valide alors Nolan Priestly (U.C) 845472

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