Charming Prince Selling Books

I. Carte d’identité

Nom(s) : Guazzi Celui de sa mère qui l'a élevé seule, comme une grande et sans autre aide que celle de ses parents.
Prénom(s) : Alexis, Andrea Le premier parce que ma mère était une Francophile, le second parce que c'était celui de son grand père paternel qu'elle aimait énormément.
Surnom(s) : Aless' Enfin, c’est surtout parce que le ‘x’ n’existe pas en italien et donc cette consonne est ‘transformée’ dans la langue.
Âge : 22 ans Il va d'ailleurs en avoir 23 au mois d\'Octobre ...
Date et lieu de naissance : 5 Octobre 1985 Il faisait d’ailleurs très froid ce jour là, sa mère était à la maternité depuis une semaine, il était temps qu’il arrive xD Il est né à Naples
Nationalité : Italienne Jusqu'au bout des ongles ..

Occupation : Libraire Sympa hein ! Pas le genre à vous envoyer dans vos 22 mètres parce qu'il est mal luné ...

II. Biographie

Contexte familial :
Sa mère, Katarina, fut abandonnée à l’âge de 24 ans par son petit ami de l’époque qui a fuit lorsqu’elle lui a annoncé être enceinte. Prenant son courage à deux mains et grâce à l’amour de sa famille qui ne la laissa pas tomber, la jeune femme put construire une vie agréable pour son fils, qu’elle nomma Alexis du fait qu’elle aimait la France depuis sa plus tendre enfance.

Il est évident qu’il allait manquer une figue masculine et paternelle à Alexis, du moins, c’est que l’on pourrait penser mais en réalité, son grand-père Alibrando Guazzi, occupa ce rôle avec le plus grand des sérieux et l’initia aux joies de la lecture dès qu’il fut capable de lire quelques courtes lignes.

A l’école, ou du moins en maternelle et primaire, le fait de n’avoir pas de père fut un très léger handicap : Ses camarades ne cessaient de menacer les autres de l’arrivée de leur « super papa » dès que quelqu’un les importunait, hors, il était impossible pour Alexis de répondre par la même menace.

Finalement, il surmonta cela en rencontrant d’autres enfants, élevés eux aussi sans père. Elève appliqué, il a toujours excellé dans les matières dites « littéraires », ses professeurs n’ont jamais eut à se plaindre ni de son comportement, ni ses notes qui étaient bonnes partout.

La période du collège passa « comme une lettre à la poste » et il entra au lycée en gardant de très bons résultats. Le seul point que l’on pourrait considérer comme noir est le fait que, dès qu’une relation amoureuse commençait à être sérieuse ou qu’Alexis sentait qu’il tombait vraiment amoureux de sa copine, le jeune rompait immédiatement, de peur qu’on ne le plaque lui, et qu’on l’abandonne, comme son père l’avait fait avec sa mère. De ce fait, Alexis n’a jamais eut de relation « vraiment sérieuse » jusqu’à présent, il y met rapidement un terme.

Finalement, son bac en poche, il entama des études pour devenir libraire, métier qu’il voulait exercer depuis toujours. Pendant ce temps, il partit à la recherche d’un « local » pour y faire sa libraire et, alors qu’il devait le faire visiter à son grand-père, ce dernier mourut d’une crise cardiaque, alors qu’il se dépêchait pour arriver à son rendez-vous avec Alexis. Le jeune homme s’en est voulu pendant quelques mois, se sentant responsable de cette mort. Finalement, cela fait un an qu’il est installé dans sa librairie et le jeune libraire à fait son deuil mais il continue de se rendre sur la tombe de son grand-père tous les vendredis soirs, avec des fleurs.

Anecdote de la vie actuelle :

« Et on se réveille sur la dernière chanson de U2 ! Il est très exactement 7 heures et 3 petites secondes … »

Encore à demi recouvert par ses couvertures Alexis émergeait doucement d’un sommeil réparateur. A tâtons le jeune homme se dirigea vers sa grande fenêtre pour ouvrir les lourds rideaux de lin que sa mère lui avait conseillé de prendre.
Le soleil était déjà levé et le temps au dehors semblait augurer une belle journée. Après avoir enfilé un jean M. Guazzi se dirigea vers sa cuisine où il but son habituel verre de jus d’orange et avala ses deux tartines de brioche. Passant brièvement dans la salle de bain, il se lava avant de revêtir un T-shirt rouge.
De retour dans le salon, Alexis attrapa sa veste en jean et sortit de chez lui, vérifiant par trois fois que ses clés étaient bien dans la poche intérieure. Il ne lui fallut que quelques minutes pour rejoindre un petit café dans lequel il avait pris l’habitude de boire son tout premier café de la journée tout en lisant la presse locale. Installé à une table près de la fenêtre le jeune homme lisait avec attention les petites annonces : Maintenant que la librairie tournait bien – il l’avait ouverte un an auparavant – Alexis pouvait partir à la recherche d’un appartement plus grand ou même d’une maison à rénover. Finalement, il fut rapidement l’heure d’ouvrir la librairie. Le journal coincé dans la poche arrière de son jean, Alexis regagna son échoppe et ouvrit la porte pour accueille ses futurs clients.
Voyant qu’il n’y avait pas un chat, le jeune homme se permit de replonger dans les petites annonces. Deux minutes plus tard, une dame d’un certain âge entra dans la librairie. Visiblement, elle avait besoin d’un renseignement puisqu’elle resta là, à fixer Alexis d’un regard perçant. Le jeune libraire ne se rendit compte de sa présence que tardivement et, lorsque enfin il releva la tête, la vieille femme semblait contrariée. Alors, pour briser la glace, Alexis s’excusa :

« OH ! Excusez-moi, je ne vous avais pas entendu entrer. J’étais absorbé par ma quête d’un nouveau logement … ! »
« Ah oui, je comprends … En fait, je voulais un petit renseignement ... »
« Bien sûr, quel est-il ? »
« L’anniversaire de ma petite fille est dans trois jours, malheureusement je n’ai pas trouvé de cadeaux. Comme elle bien lire des livres à l’eau de rose, avec des princesses ou des lycéennes qui vivent des aventures un peu irréelles je dois le dire, je pensais pouvoir trouver quelque chose ici … »
« Et bien, pour trouver ce genre de livres, il faut aller voir le rayon jeunesse, là bas ! » Alexis désigna le-dit rayon et commença à avancer, faisant signe à la vieille dame de le suivre. « Alors, ici vous aurez des livres écrits par une américaine, Meg Cabot qui a notamment rédigé Le journal d’une princesse mais aussi divers auteurs qui ont écris un peu plus sur la vie au lycée ou au collège … »

La cliente prit alors un exemplaire du Journal d’une Princesse, lut rapidement le résumé avant de le reposer pour demander : « Mais, vous n’auriez pas une autre édition de ce livre là ? Non parce que l’histoire je pense qu’elle l’aimera mais la couverture est vraiment moche ! » Certes, la couverture était importante mais de là à choisir un livre sur ce critère. On disait bien que les apparences étaient trompeuses ! Enfin, Alexis garda tout son calme et lui répondit simplement :

« J’ai effectivement deux autres éditions, les voici ! » D’un casier inférieur à l’étagère, le libraire sortit deux exemplaire différents du même roman. Lorsqu’elle vit le second, la vieille dame se mit à sourire, visiblement ravie.

« Bien, cette édition est très jolie ! Je le prends ! »
« Pas de problèmes, je vous emmène à la caisse ! »La cliente paya son livre et demanda un stylo à Alexis qui, sans en demander la raison, le lui donna. Elle prit un bout de papier dans son sac à main pour y noter une adresse N°3 Piazza Aria avant de le donner à Alexis qui la regarda, perplexe.

« C’est une très jolie maison à vendre, elle n’est pas chère mais doit être entièrement rénovée. » La vieille dame lui adressa un clin d’œil complice avant de sortir du magasin Alexis, eut tout juste le temps de la remercier rapidement.

Le jeune homme médita tout le reste de la matinée sur cette adresse, donnée comme ça, sans qu’il n’eut rien à demander. Finalement, lorsqu’il ferma la librairie à 12 heures 3O ; le jeune homme se dirigea vers Piazza Aria pour aller voir la-dite maison. Lorsqu’il la vit, ce fut un véritable coup de foudre. Elle était l’archétype de la maison italienne, elle avait une âme, un passé et une histoire, il y avait quelque chose qui attirait irrésistiblement Alexis vers cette vieille maison, car il était certain qu’elle était vieille. Cependant, le jeune homme ne pouvait y entrer aussi il composa le numéro de téléphone inscrit sur la pancarte.

« Oui bonjour, je m’appelle Alexis Guazzi, je suis actuellement à la recherche d’une maison et je suis tombé sur le N°3 de Piazza Aria. Ce serait pour savoir à combien vous la vendez et s’il y a moyen de la visiter … »
« Le N°3 de Piazza Aria ?! Vous êtes sûr ? Elle est à rénover totalement vous savez ! »
« Oui, oui, j’ai vu ça mais cela n’empêche rien … »
« Ah, très bien, ne bougez pas, j’arrive tout de suite ! »

Et l’homme à qui il venait de téléphoner fit son apparition quelques secondes plus tard un grand sourire soulagé aux lèvres. Il fit visiter la maison à Alexis qui, plus il passait de temps à l’intérieur, plus il s’y sentait bien. Il avait déjà des idées plein la tête et le bas prix de la maison lui permettait de faire de bons travaux, au pire des cas, sa mère l’aiderait, elle le lui avait promis.

Ensuite, tout se passa très vite, le lendemain, il avait acheté la maison et, pendant près de trois mois il y a travailla dès qu’il avait du temps de libre, en fin de journée et les week-ends. Rapidement, elle fut habitable même s’il restait quelques choses à faire. Alexis s’y installa donc et, à compter du 7 Juillet 2OO8, cela fait sept jours complets qu’il y vit, effectuant les quelques finitions restantes à son rythme. Cette maison lui convient totalement, elle a d’ailleurs été refaites « à son image » …

III. Détails supplémentaires

Particularités :

&. Lorsqu’il réfléchit ou qu’il s’ennuie, seul au comptoir de sa librairie, il joue avec un stylo qu’il fait tourner dans ses mains
&. Dès qu’il est un peu stressé, anxieux ou mal à l’aise, le jeune homme se passe les doigts le long du nez ou se gratte un peu la tête. Et puis il une fâcheuse tendance à toujours tout ranger, dès qu’un ustensile n’est plus à sa place, il le range, dès qu’un livre a été déplacé et n’est plus rangé dans le bon ordre, il faut qu’il le range.
&. Alexis n'aime pas les montres aussi n'en porte-t-il jamais. Pour avoir l'heure, il ne quitte jamais son téléphone portable.
&. M. Guazzi est un accroc aux chewing-gum mais pas n'importe lesquels : Non, il lui faut manger environ cinq chewing-gum à la menthe & sans sucre par jour.
&. Alexis est loin d'être tête en l'air mais il perd très souvent ses clés en les changeant de place.

Ce que les autres ne savent pas forcément :

&. Alexis aime fabriquer de petits marque-page en papier naturel, alors, dès qu’il a du temps à la librairie, c’est ce qu’il fait pour ensuite les donner lorsque quelque achète un livre.
&. Petit, il avait peur des moutons de poussières parce que sa mère lui disait qu’ils allaient le manger s’il ne faisait pas le ménage dans sa chambre.
&. Le rêve du jeune homme serait de trouver un des premiers exemplaires de Roméo et Juliette, une de ses pièces préférées.
&. Alexis n’aime pas les voitures, il trouve ça sans style et les considère comme de grosses carcasses de ferraille. Il préfère nettement prendre son vélo pour sa balader en ville et ,n’utilise une voiture que pour les très grands trajets.
&. Même s’il a abandonné sa mère alors qu’elle était tout juste enceinte, Alexis se plaît à rêver que cet homme à une très bonne explication et qu’un jour il reviendra.
&. L’hiver, il adore boire un café au lait en regardant de vieux épisodes de Friends, sa série culte.

IV. Autres
&. Elevé sans père, Alexis pense qu’il sera incapable d’assumer ce rôle si un jour il a à l’assumer. Sa plus grosse peur étant de laisser lui aussi tomber la mère de son enfant.
&. Lorsqu’il boit un café, Alexis met un sucre et demi dedans. Le premier il le laisse fondre et remue le tout mais l’autre moitié, il en fait un canard et ce, chaque fois qu’il a une tasse de café devant lui.
&. Alexis est extrêmement allergique aux poils de chats, tellement qu’il en est venu à ne pas trop les apprécier, au contraire des chiens qu’il aime énormément.

V. Conclusion

Avatar : Jonathan Bennet Encore & Toujours <3

Pseudo : Pivi Enfin, certaines personnes me surnomment Noly ...
Garçon ou fille : Hermaphrodite En fait c'est une malédiction, quand vient le Printemps, je change de sexe ...
Où avez-vous connu le forum ? Pfiout ! C'était il a trèèèès longtemps, au mois de Février 2OO8. Par navigation de partenaire en partenaire ...
Commentaires : J'AIME LE CHANGEMENT ! Et puis bon, ça ne peut faire que du bien Dolce Vita x)

Rebienvenue

reuhbienvenuz niark niark

Re l'ami

Tout le monde est mon ami j'aime les gens

Rebienvenue petit libraire!!

Re-bienvenue donc

Rebienvenue

Re

J'étais pas venu ici
Bienvenue

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