Monica RICCI __ The chill in my veins

BY CORSET-DIARIES @ LJ

I. Carte d’identité

• Nom : Ricci.
• Prénoms : Monica Jemma Eve.
• Surnoms : Monica n’est pas un prénom qui suppose quelques attributions plus courte. Quelques uns ont adopté le très banal « Moni », d’autres plus intelligents utiliseront le « Caca ». En général, son petit gabarie et son visage de poupée lui valent des surnoms en rapport avec ce physique si original.
• Âge : La demoiselle est à présent âgée de vingt trois années, et file vers ses vingt quatre ans.
• Date et lieu de naissance : C’est sous un soleil de plomb Sicilien, à Palerme, que naquit la jeune Monica. C’était un neuf Août.
• Nationalité : Etant née en Sicile, Monica possède donc la nationalité italienne. Pourtant ses deux parents sont américains, quoique son père ait quelques origines italiennes qui l’aient obligées à revenir se ressourcer sur l’Île italienne.

• Occupation : La jeune Monica venant d’acquérir son Master de médecine, elle s’est donc engagée dans la médecine légale. Seulement qu’assistante le temps de formation, la demoiselle travaille donc dans un laboratoire aux services de la police criminelle ou autres, dans le cas d’autopsie de corps. A la base, elle devait devenir médecin généraliste à l’hôpital, mais elle préfère finalement s’occuper des morts plutôt que d’être avec des vivants qui se plaignent. Peut être changera-t-elle d’avis face au salaire minime de ce métier, et aux horaires aléatoires mais pour le moment, elle se contente de son emplois qui lui remplie son assiette et paye son loyer.

II. Biographie

• Contexte familial : Il n’existe au monde – d’après Monica – aucun couple aussi solide, soudée et amoureux que ses parents, qui semblent partager le même amour depuis qu’ils se sont croisés la toute première fois. Lui faisait partie d’une organisation non gouvernementale appelé Médecin Sans Frontière, et combattait avec ardeur la tuberculose en Afrique. Elle était soigneuse dans une réserve naturelle, et s’occupait des animaux sauvages en leur prodiguant les soins nécessaires pour les protéger de la folie meurtrière des hommes. Peu ou beaucoup de choses semblaient les opposer et pourtant dans un camp humanitaire ils se rencontrèrent. Comme deux personnes étant issus d’une même patrie qu’est l’Amérique, ils se rapprochèrent donc et ne se quittèrent plus. Kenya, Tanzanie, Somalie, le couple se mit alors en tête de parcourir la partie Est de l’Afrique pour voyager, soigner, s’ouvrir, comprendre. C’est lorsque le jeune couple arriva à Madagascar qu’il la demanda en mariage, ce que bien sûr elle accepta, et ils se marièrent donc dans un petit village sur la petite île Africaine.
C’est lorsqu’elle tomba enceinte, qu’elle pria son époux d’aller s’installer autre part, de quitter l’Afrique pour débuter une seconde vie, moins difficile pour leur future enfant. Il accepta, bien entendu, et lui proposa l’Italie. Il était né là bas, et y avait vécu cinq années. Ses souvenirs étaient flous, mais il se souvenait pourtant à quel point il était heureux là bas, à quel point ce pays était une source de plaisir et d’émerveillement, et que leur enfant ne serait que plus épanouie de vivre là bas. Monica naquit donc, neuf mois plus tard, dans la petite ville sicilienne de Palerme. La maison familiale était assez grande, surplombant la ville du haut d’une colline, nichée entre les pins. Le Soleil tapait mais l’ombre qu’offraient les hauts pins était suffisante. Le filtre de la grande piscine sifflait doucement, accompagnant en rythme le chant des cigales. La fumée opaque du barbecue que le père avait construit s’échappait du haut de la petite cheminée, l’huile brûlante crépitant au contact de la viande. Il travaillait comme chirurgien à l’hôpital le plus proche, et elle était médecin généraliste dans le petit village. Elle apprenait lentement à parler italien, mais elle assimilait à une vitesse remarquable. Cinq ans plus tard naquit un petit garçon, Enzo, et Monica fut dorénavant une grande sœur. Trois années après Enzo, la famille accueillit un jeune Mattéo. La famille Ricci fut donc au complet, et disons que la vie commença réellement à partir de ce moment là.
Les enfants Ricci étaient élevés dans les livres de sciences, les documentaires animaliers et les séries médicales. Sensibilisés à tout ce qui les entouraient, les parents cherchaient à inculquer un grand respect du monde et des Hommes à travers une connaissance scientifique précise. D’ailleurs, ils avaient décidé d’offrir un animal à chacun des enfants à leur dixième anniversaire. Monica eut un chien : un adorable Beagle nommé Tartampion, Enzo eut un rat nommé GI Joe, et Matt eut un furet appelé très intelligemment Furet. Monica ne fut jamais ce qu’on peut appeler une sœur exemplaire : solitaire, elle n’aimait pas passer du temps avec ses deux frères, ne les comprenant pas toujours d’ailleurs dans leur lubie de l’espace. Elle se montrait des plus désagréables avec eux, les torturant de temps en temps, et les assommant de répliques cinglantes bien pensées le reste du temps. Lorsque la demoiselle finit le lycée, elle décida de quitter sa Sicile natale pour aller étudier dans une Université de Médecine. Ne pouvant emmener Tartampion dans le petit appartement qu’elle avait trouvé à Naples, non loin de l’université, elle le laissa à ses parents, ce qui lui arracha le cœur.
Lorsqu’elle arriva à Naples, elle se dit qu’elle ne survivrait jamais ici. Heureusement pour elle, elle rencontra de nombreuses personnes qui devinrent ses amis, et pour la plupart ses meilleurs amis. Ses études s’achevèrent rapidement, et elle obtint presque immédiatement son poste de médecin légiste à la morgue. Aujourd’hui, Monica se déplace pendant ses vacances jusqu’à la maison familiale dans le village retranché de Sicile pour aller saluer ses parents. Ce que Monica n’a pas encore trouvé, c’est une totale confiance en soit, et le joyeux luron qui sommeille en elle, ne demandant qu’à sortir pour s’éclater.

• Anecdote de la vie actuelle :

Dans la semi pénombre du bureau grisâtre, les coups réguliers du contact des doigts sur le clavier résonnaient entre les murs froids du bureau de la morgue. D’une main lasse, Monica se frotta le visage et regarda machinalement son poignet pour connaître l’heure : onze heures. Génial, encore une soirée qui avait filée. Elle avait du annuler un pot collectif au café du coin avec ses amis, mais son métier devait passer avant tout, du moins pour le moment, puisqu’elle était encore à l’essai. Elle tapota l’heure de fin et appuya sur entrée pour imprimer le document. Un léger sourire s’étira sur ses lèvres : elle était morte de fatigue, mais heureuse de terminer enfin ce rapport d’autopsie. Elle se redressa, et s’étira en se courbant légèrement en arrière pour faire craquer les os de son dos, puis ôta lentement sa blouse tout en se dirigeant vers l’imprimante qui crachait le rapport. La jeune Ricci lâcha un long soupire, et tira d’un coup sec le papier, le parcourue rapidement du regard la feuille tout en retournant vers son bureau puis se pencha pour signer le bas du papier. Elle se dirigea ensuite vers son vestiaire, et tira d’un coup sec sur la poignée en ferraille ; elle extirpa sa veste noire, et son sac à main puis le referma, et se dirigea vers la petite pièce qui jouxtait son bureau, là où l’on recevait les cadavres et où l’on exécutait les autopsie. Elle ferma la lumière du bureau, et alors qu’elle redressait sa tête pour jeter un dernier regard dans la salle, elle trouva un corps allongé, au milieu de la pièce, sur l’une des tables. Mince, elle était pourtant sûre d’avoir rangée le corps dans un des sasses. Elle s’approcha de ce dernier, il portait une étiquette sur le doigt de pied, et un papier sur le drap blanc qui le recouvrait. Du bout de son index et de son pouce, elle souleva l’étique : « John Doe, accidenté de la route, heure estimée du décès : 22h50 »

Quelle blague ! Monica jura intérieurement. Les gens pouvaient ils éviter d’avoir des accidents mortels quand elle est de service ? Et surtout après 22h00 ? C’était trop demandé hein ? Elle prit le morceau de papier se trouvant sur le corps et l’ouvrit. Elle parcourue rapidement l’écriture noire maladroite qu’elle connaissait par cœur.
« Salut Doc’, je sais que ça te fait plaisir, alors je t’ai emmené un corps. Merci de faire son autopsie avant demain matin. Soulève le drap tu verras c’est rigolo, en tout cas tu m’excuses, je suis pas resté j’avais un rendez vous. Votre fidèle serviteur, Raffaelo. »
Monica ferma les yeux, froissa le papier dans ses mains et tout en le lançant à travers la pièce, lança un « Votre fidèle chieur oui ! ».

Revenant sur ses pas, elle tira dans un même temps son cellulaire et rappela le dernier numéro enregistré. Messagerie.
« Sam, c’est Monica. En faite je viens d’avoir un truc qui m’est tombé dessus au dernier moment, donc je te rappellerais plus tard pour venir me chercher…Enfin…Si tu n’es pas mort parce que tu réponds pas sur ton portable. Bisous. »

Relevant les manches de sa blouse, ses gants de plastiques se resserrant autour des bagues de ses doigts, Monica, avança la table d’ustensiles près d’elle, puis souleva le drap. Ses yeux s’arrondirent, mais finalement, s’abaissèrent tout aussitôt, connaissant que trop bien ce genre de cas. Elle prit une profonde inspiration, et prit le petit magnétophone se trouvant à ses côtés. Elle appuya sur la touche Rec.
« Homme de race caucasienne, environ âgé de trente ou quarante ans, présente des fractures abdominales, vraisemblablement causé par un accident de voiture. On remarque un affaissement de la cage thoracique, et divers bleus sur le bas du ventre qui correspondrait à un écrasement de la poitrine par un objet lourd. Je dirais que la victime a été renversée et que la voiture lui a roulé dessus. »
Elle déposa doucement le magnétophone sur la table près d’elle, puis s’empara délicatement du scalpel et fit deux entailles, une au niveau de l’épaule droite et l’autre à l’épaule gauche. Elle se mit alors à entailler vers la poitrine, continua ainsi jusqu’au nombril puis avec une pince, ôta délicatement la peau pour faire découvrir l’intérieur du corps.

Son sang se figea alors, le silence qu’elle aimait tant devenant cette fois pesant après ce bruit. Sa main droite tenant fermement le scalpel tremblait violement, et son corps semblait se secouer en avant, le flux de son sang s’accélérant. Soudain, la poignée de la porte de la salle d’autopsie tourna lentement, et Monica sursauta, plaqua sa main libre sur sa bouche. D’un premier réflexe, elle courut sur le côté d’un mur en léger retrait, se cachant ainsi de l’entrée, puis ferma la lumière, plongeant la salle dans le noir. La porte grinça lentement, et des bruits de pas réguliers tapèrent contre le sol. Dans son petit coin, elle retint sa respiration, attendant patiemment. D’après le bruit des pas, et la respiration, cette personne devait être un homme. Mais d’après ces mêmes données, il ne semblait pas être un immense malabar de six tonnes.

La jeune femme se rendit soudain compte qu’elle avait toujours son scalpel fermement tenu dans sa petite main, et que c’était stupide, mais elle pouvait se défendre avec cette minuscule lame tranchante comme un katana. Enfin à ceci près. Monica avait un avantage considérable sur son adversaire : elle connaissait l’endroit et pouvait le surprendre. Elle s’avança alors lentement, remerciant Dieu d’avoir inventer les semelles en cuir pour les Repetto, ce qui la faisait flotter sans faire de bruit. Elle se cala sur la respiration de l’intrus, et alors qu’elle était suffisamment proche de lui, alors qu’il s’avançait vers la table d’autopsie, elle hurla un cri de guerre à faire pâlir les spartiates, et se sauta sur le dos de l’intrus, s’accrochant comme une folle.

« ESPECE DE PSYCHOPATHE, VIEUX BISON MAL CASTRE ! »
« MAIS LACHEZ MOI LACHEZ MOI LACHEZ MOI ! »
« JE SUIS CHAMPIONNE DE YOGA JE VAIS TE TUUUEEEER »
« NOOOOOOOOOOOOOON PITIEZ LACHEEEEZ MOIIII »

Ils tournoyèrent dans la salle comme des abrutis, Monica toujours fermement accroché à lui, en le tapant la tête de sa main libre. Ce dernier bascula légèrement en avant, puis se redressa d’un coup : Monica perdit l’équilibre et sentant son corps partir en arrière, elle donna un léger coup de pied dans la jointure derrière la jambe, et sentit le corps de son adversaire basculer en avant, tandis qu’elle, partait en arrière. Elle tomba mollement sur le sol, et eut du mal à comprendre où elle se trouvait dans la salle ; elle se redressa, puis titubante, se dirigea vers un mur, les mains tendues devant elle pour ôter les obstacles. Finalement, elle rencontra un interrupteur et l’alluma, se retournant aussi rapidement que la lumière apparue. Sur le sol, l’intrus s’était roulé en position fœtale, tenant son genou.

« Oh ça va vous allez pas chouiner, vous êtes pathétique comme cambrioleur. »
« J’ai pas mal je suis en train de réfléchir. »
« Oui c’est effectivement bien le moment. »

Monica marqua une longue pause, et souffla en levant les yeux au ciel. Elle s’approcha de lui, et l’aida à se redresser. Elle s’installa à genoux en face de lui, et redressa sa jambe. Elle fit lentement rouler l’os entre ses paumes de mains : d’un côté elle s’en voulait d’avoir été aussi violente, ce n’était pas dans ses habitudes. Et puis il fallait l’avouer, il était pas mal.
« Je peux savoir ce que vous faites là ? »
« Je cherchais les toilettes. »
« Je peux savoir ce que vous faites là POUR DE VRAI ? »
« Ma mère est morte je viens voir son cadavre. »
« … »

Monica resserra d’un coup ses mains autour de l’os du genou, le jeune homme se mettant alors à hurler.
« MAIS VOUS ETES TAREE DANS VOTRE TETE VOUS ? »
« BEN ET VOUS ? VOUS VOUS POINTEZ DANS UNE MORGUE A MINUIT FAUT AVOIR UN GRAIN NON ? »
« POURQUOI VOUS GUEULEZ ? »
« JE VOUS RETOURNE LA QUESTION ! »

Elle le fusilla du regard, restant un long moment silencieuse, puis, soupira avant de continuer à masser son os du genou. Elle n’ajouta rien et c’est finalement lui qui soupira.
« J’suis là pour le cadavre de l’accident. J’suis journaliste voyez vous. »
« Tant que vous êtes pas nécrophile ça va. »
« …Ca veut dire quoi ça ? »
« Ben que une fois sur deux y’a un journaliste qui se pointe ici. »
« Et dans d’autres cas ? »
« Ce sont des nécrophiles. »
« Mais je suis pas nécrophile !!! »
« Oui c’est ce que dise tous les nécrophiles. »
« Mais…Comment…Est-ce que…Je…Enfin… »
« Oui, bon, la ferme. »

Elle lui tapota le genou, acquiesçant d’un signe de tête pour dire que ça irait mieux maintenant et elle se redressa. Il en fit de même, titubant très légèrement, mais semblant aller légèrement mieux.
« Bon maintenant que vous pouvez marcher, cassez vous. »
« J’aurais quelques questions pour le… »
« Non. »
« Mais c’est sur le… »
« Non. »
« Et… »
« Non. »
« Mais vous ? … »
« Oui ? »
« Ah vous voulez bien que …? »
« MAIS NON BORDEL DE MERDE SORTEZ D’ICI OU J’APPELLE LA POLICE »
« Oh ça va l’hystérique hein. »
« … »
« Bon je vous donne mon numéro de téléphone si vous voulez m’appeler pour me donner des infos. »
Il attrapa une petite carte cartonnée dans sa veste, inscrivant son numéro dessus, puis la tendit à Monica avec un sourire charmeur qui aurait pu la faire fondre si elle n’avait pas été aussi en colère. Elle attrapa le bout de papier, et lu rapidement son prénom : Teseo. Hum. Elle fulmina, et fourra le papier dans sa poche.
« Je ne pense pas que je le ferais. » cracha-t-elle d’un air mauvais.
« En tout cas j’espère que vous aimez les puzzles. »
« Hein ? Mais c’est quoi le rapport avec le… »
Teseo leva son index et montra quelque chose derrière l’épaule de Monica. Cette dernière de se retourna et vit avec horreur que le corps qu’elle avait commencée à autopsier gisait sur le sol, le cœur, les os, les intestins et d’autres organes s’étant éparpillés sur le sol. Elle entendu un petit ricanement derrière elle et un « Bonne soirée. » ironique à souhait. Elle levales yeux au ciel, et marmonna un très sentie :
« Bordel de cul de merde … »

III. Détails supplémentaires

» PARTICULARITES :

- Monica ne jure que pas des petites ballerines Repetto. Bien entendu, le prix un peu trop élevé de ces chaussures l’empêchent d’en avoir autant qu’elle le souhaiterait, donc elle se contente d’une vieille paire en cuire qui commence à se faire vieille depuis un an qu’elle les possède.
- La demoiselle ne vit que pour ses séances quotidienne de yoga. Extrêmement souple, elle est adepte depuis quatre ans, et pose dorénavant dans des positions très sophistiquées. Encens, bougie, et musique Zen, tout est en rapport et en disposition pour qu’elle puisse être en total harmonie avec son environnement, et que ses chakras se plaisent à se fermer pour atteindre les sommets de la zenitude. Une passion commune avec Apolline, avec qui elle adore partager des séances de yoga.
- La jeune Ricci ne conduit pas. Elle déteste les motocyclettes et a une sainte horreur de la voiture. Ainsi, elle se déplace en bicyclette en ville pour faire régulièrement le lien entre son petit appartement et la morgue. Si le cas demande utilisation obligatoire d'un transport à moteur, elle appelle son cher ami Samuel pour la dépanner, à chaque heure du jour...et de la nuit, lorsqu'elle est en état d'ébriété.
- En réalité, elle déteste les séries policières comme les Experts, et tout ce qui se rapportent à son métier. Elle préfère de loin une bonne série bien niaise, qu’elle adore regarder en compagnie de Cristinna tout en dégustant des mets aussi diverses et nombreux que chargé en calorie.
- Elle passe sa vie à chanter, à fredonner, à chanter. Ce serait stupide de dire qu’elle adore la musique puisque qui n’aime pas la musique ? Mais Monica a un sens très pointu du rythme, du tempo et sa petite voix cristalline s’accorde à la perfection dans des chants pop récents. Plus petite, elle avait pris des cours de flamenco et de salsa, ce qui d’ailleurs explique le fait qu’elle possède un corps musclé et assez cambrée, et donc aujourd’hui n’hésite pas à aller sur la piste de danse pour s’accorder quelques rapides pas correctement exécutés.
- La demoiselle est, comment dire, assez complexe. Elle n’apprécie pas plus que ça les grosses soirées, et rencontrer du monde, et préfère boire un verre tranquille dans un bar, seule ou auprès de ses amis les plus proches. En réalité, Monica n’a pas eu d’adolescence à proprement parler, et donc rejette cette idée stupide de vouloir à tout prix se débaucher sans raison. Cigarettes et drogues, très peu pour elle. En parallèle, Monica à un mal de chien à faire confiance, et à s’engager dans une relation qu’elle soit amicale et surtout sentimentale. Alors elle possède un petit cercle restreint d’amis, de connaissances, et se préoccupe plus de son petit bonhomme de chemin, oubliant d’après certaines personnes, en résumé, de vivre. Timide, renfermée, au premier abord, on n’a aucune envie de l’avoir comme amie. Mais si vous réussissez à creuser la carapace vous trouverez une amie douce, disponible, drôle et extrêmement généreuse et à l’écoute.
- Blonde, brune, le cœur de Monica balance régulièrement. Brune de naissance, il lui est pourtant arrivé de se colorer régulièrement les cheveux. Il n’est ici pas question de mode ou style, mais plus une question d’envie et même d’état d’esprit. Plus morose, un peu triste elle ira volontiers se colorer en blond, à l’inverse, elle adorera rester en brune si elle se sent à l’aise et bien dans ses baskets.

» CE QUE LES AUTRES NE SAVENT PAS FORCEMENT :

- Monica possède un magnifique, un merveilleux, un somptueux que dis-je, un parfait Chinchilla. Ce petit rongeur mi chien, mi souris, mi koala est le meilleur ami de la jeune demoiselle depuis bientôt un an (ex aequo avec Luca bien entendu). Cette petite merveille porte le doux nom de Salsifis. Salsifis est un véritable estomac sur pattes qui passe sa vie à grignoter tout ce qui se trouve par terre, étant donné que Monica le laisse en liberté, le sacré Salsifis sachant très bien qu’il mourrait s’il sortait de son appartement. Mais Monica et Salsifis s’aiment et s’adorent et passent la plupart de leur nuit blottit l’un contre l’autre, bien que Salsifis se retrouve presque toujours inéluctablement écrasé ou par terre. Pour résumer son caracète on peut dire de Salsifis qu'il est lunatique, gronchon, amateur de miette et d'arachides (cacahuètes ou autres), n'aime pas les hommes et apprécie la compagnie des sous vêtements de Monica.
- Ce qui est hallucinant chez Monica, c’est sa connaissance impressionnante en biologie animale. Elle connaît tous les animaux, leurs modes de vie, le pourquoi, le comment du fonctionnement de cette ou cette espèce, bref elle est un véritable puit de culture générale sur la vie des animaux, ce qui d’ailleurs ne lui sert, à rien. Mais de temps à autre, elle n’hésite pas à faire référence à certains aspects des habitudes animales pour philosopher sur la vie ou faire des remarques négatives. D’ailleurs la plupart de ses insultes tournent autour de « Sale Babouin », « Vieux Beluga », et autres dans cette même veine.
- La demoiselle parle couramment l’italien et l’anglais et à quelques notions d’insultes en africain grâce à sa mère qui a hérité de ce seul vocabulaire de son voyage en Afrique.
- Monica s’est découverte une ressente passion pour les boissons. Tisane avant de dormir, thé à cinq heures en compagnie de Iris pour papoter de mondanités inutiles mais nécessaires à son bonheur quotidien, petit verre de jus d’oranges fraîchement pressées au petit déjeuné, les journées de Monica sont donc bercées par l’ingurgitation régulière de boissons diverses et variées. En général, elle attend que le Soleil est totalement disparu à l’horizon pour ouvrir une bonne bouteille de vin rouge italien ou s’offrir un délicieux cocktail à base de martini ou de vodka.

IV. Autres

- Elle ne se sépare jamais de la bague à son pouce.
- Elle évite de côtoyer les fast food, mais lorsqu’elle doit manger sur le pouce, elle s’accorde un hamburger.
- Elle a une sainte horreur des talons aiguilles, et des costumes quatre pièces. Quand elle travaille, elle ne porte que des choses extrêmement légères, très quotidiennes, tout en restant à la pointe de la mode et de l’élégance.
- Elle voue une passion sans limite pour le Golf et adore regarder les tournois à la télé.
- Elle n’a jamais lu les Harry Potter et assume totalement.
- Elle est allergique aux piqûres d’abeilles.
- Bien qu’étant une scientifique diplômée, la demoiselle déteste aller chez le médecin.
- Quand elle ne sait pas quoi dire elle cafouille et murmure des onomatopées comme « Beuh », « Niak », « Siflou », etc.
- Quand elle est gênée, elle entortille ses doigts.
- C’est une grande fan de Tom Cruise.
- Elle possède un piercing au nombril.
- Elle ne connaît pas sa table de 7.

V. Conclusion

• Avatar : Kristen Stewart

• Pseudo : Api (et tous ses dérivés ), Paweke.
• Garçon ou fille : Truc.
• Où avez-vous connu le forum ? J'ai honte mais c'était pendant un Speed Dating.
• Commentaires : C'partie pour une nouvelle lisse poire. J'VOUS KIFFE !