Hermès Cantucci [ Dharma Bums ]

I. Carte d’identité

Nom(s) :

CANTUCCI

Prénom(s) :

Hermès Emilio

Surnom(s) :

Pour une vague raison qu'Hermès ignore, ses amis on tendance à le surnommé Jack.

Âge :

20 ans.

Date et lieu de naissance :

Un joli 27 avril sous le soleil d'Erbalunga.

Nationalité :

Italienne.

Occupation :

Hermès a commencé des études littéraire, ce qui l'ennuya profondément lui qui se lasse terriblement vite de tout, il a donc vite laissé tomber. Actuellement il enchaine de temps en temps des petits boulots, assurant qu'il est entrain d'écrire le roman du siècle.

II. Biographie

Contexte familial :

La famille Cantucci est une famille quelque peu banale. Le père travaille dans un bistrot et la mère reste au foyer pour passer le balais, faire à manger, rattraper les vêtements de son enfant adoré. Jackson fut le seul enfant des Cantucci, et évidement tous les espoirs reposaient sur lui, il fallait qu’il soit juste parfait. A 10 ans on lui apprit qu’il avait une demi-sœur, mais ça ne changea absolument rien au train train familial vu qu’ils ne voyaient jamais cette fille. Jackson eut donc la chance, ou la malchance selon le point de vue, de grandir en tant qu’enfant unique, gâté, chouchouté et toujours au centre de l’attention. A Noël tous les cadeaux étaient pour lui, les anniversaires étaient merveilleux, il avait le droit de prendre plus de desserts que ses amis qui devaient toujours les partager avec leurs frères et sœurs. La vie pour lui était donc très amusante jusqu’à son adolescence. Jusqu’au moment où, selon les dires du très cher papa, il devint fou furieux. Toujours à courir dans tous les sens, se passionner pour des choses sans grandes importances, se mettre à vagabonder, oublier de rentrer chez lui ou même rentrer avec la chemise déchirée et le pantalon à reprisé. Jackson finit donc de grandir avec son père sur le dos, toujours un reproche sous le coude, mais il aimait sa famille et sa famille l’aimait, même lors des disputes l’amour traînait dans les airs. Et même si le jeune est toujours en quête de liberté, il fut terriblement attristé de devoir quitter la maison familiale.

Anecdote de la vie actuelle :

Que faire un dimanche après-midi pluvieux coincé avec des amis à Rome lorsqu’on a déjà fait tout ce qu’il est possible de faire dans cette satanée ville? Absolument rien. Évidement. Jackson était donc coincé avec ses deux amis dans le salon qui servait plutôt de chambre ou de point de rencontre de tous les amis. Les trois jeunes végétaient devant l’écran de télévision qui diffusait un énième match de football américain. Complètement déprimés, les jeunes discutaient sans même faire de véritables phrases, se comprenant à demi-mot. Jackson faisait passer le saladier de pop-corn à ses amis, sirotant un cola oversize. Christopher, l’ami qui venait de récupérer le saladier, siffloter une bonne bière, passant le saladier à Alexander, le troisième compagnon qui lui s’était déjà mit à la Vodka. L’ennuie était véritablement prenant, personne n’était à Rome ce dimanche puisque évidement tout le monde était parti voir leurs grands-parents dans divers coin du pays.

« Passe moi la vodka » ordonna soudain Jackson, qui n’allait pas être comblé avec un simple coca.

Et tout le monde sait ce qu’il se passe dès que l’on commence à biberonner de la Vodka en pleins après midi. Il arrive le coup de sept heure et l’on est déjà complètement ivre, à côté de son corps, près à faire des choses extraordinairement stupides la plupart du temps. Il était maintenant quinze heure, l’après midi était déjà raté pour les trois acolytes, ils n’avaient rien à faire, rien à dire. La ville était terriblement endormie ce qui semble être impossible pour toute personne n’ayant jamais vécu à Rome.

Les jeunes s’étaient pourtant décidés à faire quelque chose de leur journée. Ils avaient essayé une séance DVD de films anciens, du ping-pong, du tennis, du football américain, du rugby. Et pourtant ils étaient de retour dans le salon, rien à faire, rien d’amusant, rien d’intéressant. Jackson reprit donc son occupation favorite : les paris. Pas de vulgaires paris où tout le monde perd de l’argent et sa dignité au passage, non, des paris, des challenges, juste pour savoir repousser ses limites et connaître celles des autres.

« Cap ou pas cap de nous ramener une culotte d’une jeune fille? »

Le pari était complètement stupide, aucun intérêt, beaucoup trop simplet, mais les jeunes avaient déjà commencé à boire depuis pas mal de temps et ils n’avaient plus vraiment tous leurs esprits. Alors évidement, Jackson releva le pari. Il se leva, quelque peu difficilement, du sol et parti à la recherche d’une culotte. Le jeune angelot était beaucoup trop sonné pour aller trouver un magasin de lingerie pour tricher, il décida donc de partir à la recherche des culottes de son amie Armani.

Peterson arriva dans la chambre sa grande amie, le sourire aux lèvres, avec une démarche des jours pleins d’alcool. Armani était dans son lit, le baladeur poussé à fond, faisant des exercices d’algèbre qu’elle avait à rattraper pour ses superbes études scientifiques. La suite des événements est resté secrète pour Alexander et Christopher. Ce qu’ils savent c’est que Jackson arriva dans le salon, la culotte d’Armani dans la poche de son jean, un sourire aux lèvres qui lui restera tout le reste de la journée, et un air beaucoup plus sonné.

III. Détails supplémentaires

Particularités :

Ce que les autres ne savent pas forcément :

IV. Autres

Jackson a été élevé dans la foi chrétienne, le premier trait que l’on peut découvrir en lui est donc l’innocence un peu naïve qui lui reste de cet enseignement chrétien. Innocence, vérité, bonté, générosité, tout ceci pourrait décrire Jackson, du moins lorsqu’il est sous son bon jour. Car au fond Jackee est un personnage indécis, tiraillé par diverses facettes de sa personnalité.
Il y a donc ce Jackson bon camarade, joyeux, généreux, celui vers qui on va uniquement parce que ses lèvres dessinent un franc sourire et qu’il est près à effacer tous malheurs traînant dans votre sillage. Ce Jackson, lui-même le déteste. Trop gentil, trop faible, trop simplet, pas assez réaliste, comme un enfant tombé dans la cour des grands trop innocent pour repousser celui qui lui marche sur les pieds.
Et pourtant, pour certain, ce côté de sa personnalité petit enfant plait à ses camarades qui s’en accommodent on ne peut mieux.
Mais de par son physique de jeunot insouciant et son éducation bornée, Jackson s’est mit en tête de partir en voyage en quête d’une liberté quasi-sauvage. Repousser ses limites, jouer avec le feu, risquer sa vie pour un peu d’adrénaline, aller jusqu’au bout et encore plus loin - même avec les sentiments - jouer d’autrui, dépasser toutes limites, ne jamais se résigner, savourer sa vie ou juste exister. Jusqu’au boutiste, Jackson est loin d’être l’Italien mollasson se contentant d’une promotion par an. Jackson a soif de vie, Jack a besoin de ressentir des choses éprouvantes et ce de n’importe quelle façon, tout doit avoir un goût d’inconnu, tout doit monter aux tripes et arracher le cœur.
Sous ses airs de jeune premier, il n’hésitera pas à jouer de vous pour se procurer le plaisir de la violence des sentiments. Et le peu d’amis sur qui il compte réellement le savent, il est très dangereux - même pour lui-même - avec ses sentiments et sa quête insouciante de liberté. Souffrir pour mieux apprécier, même en amour ou en amitié. Lui qui part dans une longue quête romanesque, avec ses airs de super voyageur ou d’Indiana Jones, attiré par le danger, la nouveauté, la brutalité, ne se laisse jamais avoir, décidant de conquérir tout et tous sur son bref passage.
Parce qu’il faut l’avouer, Jackson ne s’attache qu’extrêmement rarement aux gens, si vous arriver à captiver un de ses regards et qu’il vous pousse dans une de ses relations extrêmes qui sont sa marque de fabrique, il est très bien capable de vous oublier deux mois plus tard, une fois ayant consumé votre relation et tous sentiment en ressortant.
Seulement Jackee est un personnage triste et mélancolique, certainement du à son côté théâtral qui le pousse dans n’importe quelle occasion à se positionner dans le rôle de la victime maudite. Vous pouvez tomber sur un Peterson tout sourire, doux et innocent, ange parmi les brutes qui se changera en un manipulateur extraordinaire qui peut tomber dans le spleen rien qu’en regardant les nuages danser dans un ciel bleu. Mais au fond, Jackson reste un adolescent parmi tant d’autre, plus ou moins sociable, ouvert à la vie, bien élevé, attiré par la découverte de la vie, de ses sensations et sentiments, bien que Jackson soit un être la vague à l’âme, jamais comblé ou rassasié, habitué des histoires d’amour éprouvantes et déchirantes et aux belles déclarations chantées au pied d’une fenêtre illuminée.

V. Conclusion

Avatar :

Mathias Lauridsen

Pseudo :

Smart, June, Bipbip, La folle