{ • ROZEN SVEND __ terminé

I. CARTE D’IDENTITE

Nom(s) : Quel drôle de mélange pour la jeune femme qu'être norvégien et italienne par la même occasion. Ses origines italiennes l'a rendent fière, seulement, sa mère n'en a fait qu'à sa tête. Ses parents s'étaient séparés bien avant la naissance de Rozen. Sa mère faisait des caprices et son père ne pouvait plus la supporter plus, c'est ainsi que leur mariage prit l'eau, quel bel exemple de vie pour Rozen. Sa mère avait donc décidée lors de l'accouchement qu'il fallait impérativement que sa fille porte son nom et non celui de son père. C'est ainsi qu'elle lui donna le nom Svend.
Prénom(s) : Encore une folie de sa mère, à croire qu’elle est une femme bizarre avec des envies bizarres. Décidant seule du prénom de son petit bout de chou – peut-être une erreur – sa mère lui donna un nom breton, qui avait appartenu à une arrière grande tante. Rozen. Un dérivé du prénom Rose. Rien, que ce soit dans son prénom ou dans son nom ne laisse voir que la jolie blonde peut avoir des origines italiennes, sa mère a tout fait pour gommer ce défaut, comme elle aime souvent le dire. Elle lui attribua comme second prénom, Juliet. Beaucoup mieux que son prénom d’origine, selon Rozen. Elle s’aime à dire aux autres qu’elle s’appelle Juliet et non Rozen.
Surnom(s) : Les surnoms, Rozen n’aime pas tellement, son prénom lui porte déjà suffisamment lourd sur le cœur pour ne pas en rajouter une couche. Sa famille l’avait toujours surnommée Alice, à cause de son adoration pour le dessin animé de Walt Disney, Alice au pays des merveilles, ainsi que pour sa ressemblance lors de son enfance. Ses amis l’appellent également Blondy. En rapport à la chanteuse, que Rozen adore, et encore une fois, pour la blondeur de ses cheveux.
Âge : La jolie blonde est âgée de vingt-trois ans, depuis seulement quelques mois.
Date et Lieu de naissance : Rozen vit pour la première fois la lumière du jour un Vingt-un avril, à Bergen en Norvège. Bergen est une ville du sud-ouest de la Norvège, capitale du comté de Hordaland. On dit de Bergen, que cette ville est la plus belle de Norvège, ce n'est pas Rozen qui dira le contraire.
Nationalité : Sa mère est norvégienne, et son père est italien. Deux belles nationalités qui collent à la peau de Rozen. Que ce soit par l’accent qu’elle s’amuse à prendre quand elle revient de chez son père pour agacer sa mère, ou encore pour la beauté du paysage de la Norvège, Rozen se sent malgré tout plus proche de ses origines italiennes pour la simple et bonne raison qu’elle aime tout en Italie, que ce soit le pays, les italiens, ou la nourriture. Elle s’est toujours sentie plus italienne que Norvégienne, elle passe un temps égal en Norvège et en Italie, mais, elle habite aux Etats-Unis, ce qui lui fait faire de très longs voyages. Mais elle aime voyager.

Occupation : Que ce soit sa mère ou son père, tout les deux souhaitaient que leur fille unique se dirige vers les ressources humaines. Peut-être pour son côté ouvert, seulement, depuis sa plus tendre enfance, depuis qu’elle sait marcher pour tout dire, elle s’était très tôt passionner pour la peinture. Bon, il est clair qu’à cinq ans, on ne fait pas des œuvres d’arts, mais tout ce qui était artistique plaisait à Rozen. Le dessin et la peinture furent ses passions. Des passions tellement fortes qu’elle décida de tout quitter en Norvège – ainsi que sa mère – pour entrer dans l’école d’Art au Texas. Elle refit sa vie sur cet état des USA, avant de partir à Naples après avoir murement réfléchit sur sa décision d’abandonner ses études.

III. DETAILS SUPPLEMENTAIRES

Particularités :

- Rozen Svend est une jeune femme très maladroite. Tout ce qui lui passe sous la main finit souvent par se cracher sur le sol dans un éclat. On dit souvent d’elle, qu’elle a deux mains gauches. Etant malgré tout plutôt stable sur ses pieds, son réel problème est ses mains, elle a cassée d’innombrables vases qui appartenaient à sa mère ainsi qu’à la famille. Pourtant, à première vue, quand on voit Rozen, on se dit que cette fille est particulièrement habile et fière. Il est clair qu’elle n’aurait jamais pu faire de soccer, ou même de football américain – bien qu’elle doute que le football américain existe pour les filles – depuis elle essaye de s’arranger, et de faire très attention à ses gestes. Sa mère était autrefois exaspérée, car déjà quand Rozen était enfant, elle cassait tout sur son passage, sa grand-mère l’a surnommée : La Terreur.
- Quand elle n’était pas plus haute que trois pommes, la jeune demoiselle faisait de la danse classique, sa mère pensait que ce serait un bon moyen pour faire ressortir une part de grâce dans les gestes de son enfant, alors que celle-ci était parfaitement maladroite. Mais, ce choix n’était pas du même goût que Rozen, qui, pour elle, la danse n’était pas une activité dont elle raffolait. Madame Svend en avait décidée autrement malgré tout, et avait poussé sa fille sur le devant des planches. Seulement, un enfant maladroit reste maladroit. Et c’est à cause de ce détail que Rozen sema la pagaille autour d’elle en seulement deux séances de danse classique. Elle se blessait régulièrement, et elle blessait les autres par la même occasion. On ne peut pas imposer à un enfant quelque chose qu’il ne veut pas faire, surtout dans le cas de Rozen qui est un exemple parfait pour représenter un enfant têtue.
- Son côté artistique fait d’elle une personne hors du commun. Elle aime tout ce qui appartient à la peinture, et à la littérature. Elle faisait souvent le voyage du Texas jusqu'à New York simplement pour voir des vernissages. Bien que la peinture prenne une grande partie dans sa vie, la littérature : elle ne peut s’en passer. Elle a une seule étagère avec ses livres préférés, que ce soit des bouquins récents, ou des bouquins un peu plus vieux. Rozen est le genre de personne qui fait fonctionner son cerveau sans arrêt, elle se trimballe toujours avec un livre dans son sac à main, un objet essentiel pour elle – le bouquin, pas le sac –. Au Texas, elle avait même été intégré à un club de lecture avec quelques autres filles de son âge, bien qu’au final, les bouquins n’étaient plus un sujet si important que ça.
- La jeune femme est le genre de personne qui ne laisse rien paraitre de ses émotions. Ce qui fait qu’on ne sait jamais à quoi s’attendre en sa compagnie, son côté de folie est le plus facile à identifié car c’est l’une des premières choses qu’elle montre. Le plus important chez elle, est son jeu de regard, elle dégage un charisme et un mystère autour de sa personne, ce qui fait qu’elle peut facilement intimider les autres. Elle n’est pas le genre a déblatéré sur sa vie, et laisser paraitre ses émotions.
- Rozen est une grande accro à la caféine. Si elle ne boit pas ses trois tasses par jour, elle déraille complètement à en faire peur aux passants. Sa mère était également une accro au café, et il a fallut en plus de ça, qu’elle rende sa fille complètement gaga. Sa préférence vont vers les Starbucks, mais ceux de son père sont encore bien meilleurs, seulement, vu qu’elle le voit très peu à cause de son emploi du temps de ministre – ou alors, c’est qu’il n’a pas envie de la voir, reste à cogiter – elle essaye de faire passer ce côté adorateur de la caféine, mais plus dur à dire qu’à faire, surtout que visiblement, cela serait de famille.

Ce que les autres ne savent pas forcément :

- Pour ses vingt ans, Rozen a voulut marquer le coup en faisant quelque chose qu’elle ne se serait jamais permise auparavant. Elle avait décidée de se faire un tatouage, au niveau de la colonne vertébral, une épée entrelacé.
- Rozen est allergique aux roses. Allergie plutôt dérangeante, surtout quand on sait que Rozen trouve les roses très belle… en photos. Elle est allergique à leur odeur, un peu comme pour la poussière, ou pour la lavande.
- Peut-être à cause de son caractère difficile à cerner. Rozen est entourée d'une coquille. Elle ne se dévoile jamais, et cela fait d'elle une personne mystérieuse. Elle aime garder son jardin secret, et malheureusement, ses amis lui reprochent souvent. Elle ne s'appitoye jamais sur son sort, et vous ne l'a verrez jamais craquer, en tout cas, pas en public.

IV. AUTRES

Caractère : Rozen ne ressemble à aucunes autres filles dans le monde, que ce soit pour sa beauté fragile, pour son charisme, ou pour son caractère à double facette. Fière de son nom et de ses origines, elle se montre très fière face aux autres quand elle parle de son pays chéri, il lui arrive même d’en faire un peu trop. Mystérieuse, son regard a toujours intrigués beaucoup de monde, ce qui fait qu’elle n’a jamais eu la chance d’avoir une côte de popularité particulièrement développée. Bien que cela ne l’ait jamais attiré, elle sélectionne ses amis. Souvent, de drôles de rumeurs courent à son sujet, ce qui l’a fait beaucoup rire d’ailleurs, mais, parfois, elle se sent un peu comme la bête du zoo. Indépendante, elle ressent souvent le besoin de s’éloigner du monde réel, parfois, certains de ses amis ne comprennent pas vraiment cette soudaine proximité entre les autres et elle. Depuis son enfance, c’est une attitude qu’elle s’est donnée. Une règle : Ne jamais s’attacher, au risque d’être déçu. Courageuse, elle n’a pas peur de commettre des erreurs, cela forge le caractère, elle aime tout ce qui est interdit, et cela ne serait pas surprenant qu’elle trouve encore plus d’intérêt envers Hermès après avoir su qu’elle était sa demi-sœur. Soucieuse des autres, elle est très à l’écoute, bien sûr, elle n’oublie pas sa vie pour autant, mais le fait d’aider les autres lui procurent un plaisir parfait. Son caractère est une contradiction complète, il est un mélange d’égocentrique et d’altruisme, de force et de fragilité, d'individualisme et d'esprit communautaire, qui peut paraître déroutant à première vue et même se traduire par un comportement paradoxal. Elle est parfaitement lunatique, elle peut parfaitement se montrer généreuse, intuitive, réceptive et fortement concernées par l'autre, puis brusquement fermée, brutale, coléreuse ou agressive.

- Elle a une peur attroce d'aimer quelqu'un depuis sa rupture avec Hermès, qui fut son véritable grand amour pendant deux longues années, lui en Italie, elle en Norvège.
- Elle adule la caféine, c'est une sorte de drogues.
- Elle n'était pas particulièrement proche de sa cousine Susana, mais depuis la rupture de celle-ci avec l'autre blond dont elle ne se souvient jamais du prénom, elle se montre particulièrement présente pour elle, elle l'a prise sous son aile. Et ils se révèlent qu'elles s'entendent à merveille.
- Elle adore les tatouages, elle en a un dans le dos, un au poignet représentant un soleil et un autre à la cheville qui représente une note de musique avec des étoiles.
- Ce n'est pas une vraie blonde, elle est chatain clair, elle ne fait que s'éclairsir les cheveux.
- Elle est un as du maquillage.


V. CONCLUSION

Avatar : Amber Heard.

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II. BIOGRAPHIE

Contexte familial : Si vous avez déjà jeté un coup d’œil sur la série Dallas ou les Feux de l’amour, et bien, figurez-vous que les parents de Rozen auraient pu en être les acteurs principaux. Destinée à être séparés, ce n’est pas faute d’avoir essayé, seulement, voila, malgré leurs nombreuses ruptures lors de leurs adolescences, la plus difficile fut celle quand Sierra Svend venait d’apprendre qu’elle était enceinte. Norvégienne, et très porté sur la religion, le fait de tomber enceinte avant le mariage avait représenté un réel problème à ses yeux, elle souhaita avorter, mais le père de l’enfant : Luciano Zaccagni. Elle changea d’avis, mais elle demanda au cher papa de quitter sa vie pour de bon, ne voulant pas rendre les choses encore plus dures qu’elle ne l’était. Un vrai mélodrame. Le Vingt-un Avril fut certainement le plus beau jour de la vie de Sierra. Son premier enfant, un visage craquant, avec un regard d’un bleu profond. C’est ainsi que Rozen Juliet Svend arriva dans la petite vie de Sierra Svend.

L’enfance de Rozen se passa très calmement, malgré son côté particulièrement maladroit, et le fait que dès qu’elle sut marcher, elle cassait tout sur son passage, sa grand-mère l’a surnommant ‘La Terreur’. Elle cassait tout autour d’elle, mais elle n’avait jamais aucunes égratignures. Un cadeau de Dieu peut-être. Elle eut même le droit de passer quelques moments avec son père italien, mais, cela était difficile car la mère de celle-ci faisait souvent en sorte de trouver des excuses pour que son petit bébé reste auprès d’elle. Elle était très certainement la plus grande fierté de Sierra. La vie de la blondinette continua le court de sa vie, comme si sa vie avait été une sorte de cadeau doux.

Son adolescence fut plus difficile, car elle mit enfin des bâtons dans les roues de sa mère. Souhaitant sentir son père plus proche d’elle, elle fit de réguliers voyages vers l’Italie pendant ses vacances, ce qui ne plu pas vraiment à Madame Svend, surtout quand sa fille chérie lui annonça avoir trouvé le grand amour. Ah ces adolescents. Mais bon, les beaux rêves ne sont pas faits pour durés, comme les histoires d’amours de toute façon. Première rupture, cela fut difficile pour la jeune femme, mais sa mère était là. Cela renforça leur lien, seulement, Rozen voulait partir de Norvège pour les USA, ce qu’elle fit, sous les encouragements de sa mère et de son père. Elle vola de ses propres ailes.


Anecdote de la vie actuelle : Cette soirée aurait pu être aussi banale que la vie, et pourtant, le destin en avait décidé autrement. La vie avait voulu réunir deux âmes complètement différentes. Entourée de quelques amies de l’université, Rozen venait de franchir la porte d’un bar où elle avait l’habitude de se rendre les Vendredi soir, pour la simple et bonne raison que le Vendredi était le seul moment de libre qu’elle avait en dehors de ses études. Il était tard, et le bar comptait quelques personnes, sans pour autant que celui-ci soit bonder. C’était un petit endroit chaleureux, avec des lumières tamisé, un gros jukebox trônait près du mûr à côté de la porte principale.

Etait-elle a peine installer que son regard se vissa sur le visage d’un jeune homme à l’allure sombre, grand et baraqué. Il était de côté, il ne l’a voyait donc pas, et pourtant, elle ne put s’empêcher de continuer à l’examiner du regard, sans écouter ses amies qui jacassaient à propos des garçons, comme toujours. Seulement, il avait dut se sentir épié, et il s’était retourné avec vitesse vers Rozen qui rougit face au regard sombre du jeune homme. Elle n’était pas du genre à être aussi insistante, et pourtant, ce garçon l’intriguait au plus au point. Elle se mordilla la lèvre avant de laisser apparaitre un soudain sourire, ce n’était pas non plus son genre de sourire aussi bêtement à un garçon, et elle fut doublement surprise en voyant celui-ci lui adressait également un sourire. La fille l’a plus proche d’elle lui donna un coup de coude, ce qui fit sortir Rozen de sa contemplation. Elle posa son regard sur son amie. « Quoi ? » Ses amies rirent en couple, et la brune qui était assise à côté de Rozen finit par lui dire « Depuis tout à l’heure, tu ne nous écoutes pas, je suis d’accord sur le fait que si un aussi beau garçon m’avait regardé de cette façon, j’aurais été dans tout mes états aussi. » Rozen se pinça les lèvres, et baissa la tête, sentant la gêne lui montait aux joues.

Quelques minutes passèrent, sans qu’elle n’ose relevait le regard vers le bel apollon, et ce n’était pas faute d’avoir espérer, mais elle ne souhaitait pas se montrer trop indiscrète. Il dut entendre son souhait pour la simple et bonne raison qu’il se trouvait près d’elle, et qu’il toussote. Le regard des cinq filles se braqua sur lui, et Rozen fit de même pour voir le mauvais venu. Elle déglutit difficilement, car visiblement, il souhaitait s’adresser à elle. « Je peux t’offrir un verre ? » Elle s’apprêta à riposter en disant que le sien était encore plein, seulement, on lui donna un coup de pied en dessous de la table, et elle se ressaisit. « Ok. » Elle se leva, et lança un regard noir à la personne qui lui avait donné ce vilain coup, elle le suivit finalement, essayant de marcher à la même vitesse que lui. Il était encore plus grand qu’elle ne l’avait cru, elle se sentait comme une naine à ses côtés.

« Tu t’appelles comment ? » Rozen se fit sortir de sa rêverie par le beau brun. Son nom ? Quel était son nom déjà… Qu’elle semblait idiote, on aurait cru qu’elle cherchait son identité. Comme si on venait de lui faire un simple nettoyage de cerveau, ou alors, elle était devenue tout simplement amnésique. Ils prirent place au comptoir. « Euh, Rozen Svend, et toi ? » Il commanda deux verres sans alcool, alors qu’il ne lui avait pas demandé son avis. « Alejandro Perotta. » Elle sourit en guise de « enchantée ». Ils blablatèrent quelques instants avant qu’un grand gaillard choppe le bras d’Alejandro, et lui dit d’une voix forte. « Tu viens jouer avec nous ? » Alejandro posa d’abord son regard sur Rozen, avant qu’elle lui fasse un sourire. De toute façon, il fallait qu’elle retourne à la table pour retrouver ses chères amies. Elle eut a peine le temps de quitter son tabouret pour se diriger vers la table qu’elles lui posaient déjà tout un tas de questions dont elle n’avait pas encore trouver les réponses. Elle pensait sincèrement que la soirée allait se finir comme ça, après tout, ce n’était pas son genre de trainer avec un mec en dehors des bars, surtout un aussi beau garçon.

Le reste de la soirée fut arrosé pour Rozen, plus qu’elle ne l’aurait dut, elle gardait un œil discret sur le grand brun, qui lui avait l’air de bien s’amuser avec ses amis… au babyfoot. « Les filles, vous vous rendez compte qu’il m’a abandonné pour du babyfoot ? » Les filles s’exclamèrent en même temps, comme si elle venait de faire une déclaration fâcheuse sur une star du showbiz. La plus discrète du lot s’adressa à Rozen en lui prenant la main. « Les filles, allons-nous amuser un peu. » Une fille au visage typée s’approcha du jukebox et mit en route une chanson particulièrement entrainante, la moitié du bar se leva des chaises pour danser sur I Love Rock’n’roll.

Comportement bizarre, Une amie poussa Rozen vers Alejandro, avant qu’elle fasse le reste du chemin par elle-même. Le regard de ses copains s’étaient arrêtés sur elle, et ils firent tous un mouvement à Alejandro pour qu’il comprenne ce qu’il était entrain de se passer. Un léger sourire se mit sur son visage. Rozen le regarda, et s’arrêta près de lui, « Hey. » Elle lui attrapa la main, et le guida jusqu'à la ‘piste’. Et c’est ainsi que ce finit la soirée, Alejandro et Rozen dansant ensemble de façon… décontracte.



Rozen pressentait que la journée ne serait pas aussi belle que le temps. Elle devait se rendre chez Alejandro. Ceci était une sorte de routine depuis qu’ils étaient ensembles, elle venait chez lui, et il venait dans sa résidence universitaire. Cela faisait six mois qu’ils étaient ensembles, un couple plutôt improbable en réalité. Il était le genre de garçon qui attirait les regards des filles par son joli minois, et son corps imposant. Il était un véritable petit cœur avec Rozen, seulement, elle ne se sentait pas au meilleur de sa forme à ses côtés, elle avait l’étrange impression qu’il lui cachait des choses, et puis, il faisait ressortir certains aspects de chez Rozen qu’elle-même ne connaissait pas, ce qui avait tendance à l’effrayer. Elle arriva devant chez lui, il n’habitait pas excessivement loin de l’université, ce qui lui permettait de venir à pieds, plutôt que de prendre sa voiture.

Aujourd’hui ne serait pas un jour banal, elle devait parler de choses sérieuses avec Alejandro, et elle redoutait tellement cette instant qu’elle hésita avant de sonner. Elle se décida, et la porte s’ouvrit rapidement, elle pénétra dans le hall, et entra dans l’appartement de son petit ami. Celui-ci l’attira rapidement vers lui, et l’embrassa tendrement, un peu comme dans les films. Mais elle le repoussa doucement, en lui souriant. Cette conversation serait dure, et il fallait qu’elle commence avant qu’elle ne se dégonfle. « Alej’ je dois te parler de quelque chose. » Celui-ci se figea soudainement, comme si il venait de sentir une décharge électrique, peut-être qu’il sentait ce qu’il allait suivre. Elle s’éloigna vaguement, et s’installa sur le canapé, suivit d’Alejandro.

« J’ai longuement réfléchis. » Alejandro leva les yeux vers elle, comprenant un peu plus à chaque mot ce qui se tramait dans la tête de sa fiancée. Elle se mordilla la lèvre, comme si elle allait lui annoncer qu’elle avait commit un meurtre, ou une autre chose de ce même genre. Mais, ce qu’elle s’apprêter à dire était autant difficile pour elle que ça allait l’être pour lui. « Je pense que nous sommes trop différents, il vaudrait mieux en rester là, pour notre bien. » Ce n’était pas exactement les paroles qu’elle avait souhaité formuler, mais, c’était la seule chose qu’elle avait trouvé de doux. Au plus elle avait formulé ces paroles, et au plus elle se demandait si elle ne faisait pas une erreur, après tout, oui, ils étaient différents, mais cela avait bien marché entre eux pendant ces six mois. Alejandro se leva d’un bon, ce qui fit sursauter Rozen, ne s’attendant pas à un tel élan de colère, car oui, il était en colère, elle le savait, elle le sentait, son regard l’a blessait, mais elle venait de le blesser, elle devait affronter ça.

« Mais enfin Rozen, on est ensemble depuis six mois, et maintenant, tu me sors qu’on est trop différent, et qu’en gros, ça ne marchera pas. J’aurais compris si ça avait été au bout de deux semaines, mais là… Six mois ! C’est une plaisanterie ? Un gag ? » Sa gorge se noua, comment pouvait-elle s’exprimait sans rendre les choses plus difficiles. Elle se leva et s’avança vers lui, lui prenant soudainement la main. « Je suis tellement désolée Alejandro, tu mérites mieux, je pense que je ne suis juste pas le genre de filles que tu apprécies, c’était sympa entre nous, on s’était bien amusés, on était bien ensemble, mais, les choses ne durent pas éternellement… » Elle l’avait blessée. Et elle sentait la colère qui redoubler dans ses veines, il lui lâcha la main, et fit les cents pas avant de se retourna rageusement vers elle. « Tu te fou de moi ? » Rozen se crispa de surprise, ou plutôt de peur, elle savait qu’il était difficilement contrôlable quand il était en colère, il ne s’énervait pas souvent, mais quand c’était le cas, cela faisait le même effet qu’un Tsunami.

« Je suis désolée. » Elle baissa la tête, et elle entendit Alejandro ricanait, c’était mauvais signe, elle le connaissait tellement bien en fin de compte, et il devait bien la connaitre également, car il comptait casser cette image de gars parfait qu’il avait fait en sorte de maintenir aux côtés de Rozen. « Tu veux savoir un truc ? Je suis un ancien dealer. L’Alejandro tout gentil tout beau, et bien c’était un personnage. » Elle le regarda, et se bloqua complètement, elle était surprise, et blessée. Il lui avait caché cet énorme détail, c’était donc de ça qu’il parlait quand il disait qu’il avait fait des erreurs avant. Elle déglutit, comme pour retenir ses larmes. « La petite fille parfaite est blessée… Je pense que tu peux partir maintenant… » Rozen ne se fit pas priée, elle attrapa son sac et quitta l’appartement en laissant la porte ouverte derrière elle, elle ne se retourna pas, elle entendit juste des bruits de verres cassés et autre. Tout vas bien, dans le meilleur des mondes, pas vrai ?


C'est après cette séparation difficile que Rozen décida de quitter le Texas ainsi que ses études d'arts pour rejoindre son père pendant quelques semaines, seulement, celle-ci s'éternisa en Italie, alors que son père, lui partait en France, elle décide de s'installer en Italie, décidant de vivre au jour le jour après cette séparation des plus particulières, qu'elle commence à regretter un peu plus chaque jour.

MOITIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE !

Bienvenue

Welcome !

Oh, god. Cette fille est

Welcome here

Je suis certaine de l'avoir déjà vu quelque part, mais ça m'échappe
Bienvenue à toi

Elle est trop belle Amber *-* ( N'empêche, personne ne la prenait avant moi )
Welcome

Bienvenue.
Je vais te la réserver tout de suite !

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue
Et même si tu changes de copyright tout le temps, je te reconnais Sunshine

Bienvenue

S' > Ca fait plaisir oui
Par contre la fille de ton vava je vois pas du tout qui c'est

AH OUAIS DANS NEVER BACK DOWN
Purée je l'avais pas reconnu

Il est très beau ce vava

Je kiffe trop la chanson