Perdita E. Tomlin_ Terminé

Because Some Are Naturally lost

I. Carte d’identité

Nom(s) : Tomlin
Prénom(s) : Perdita Ephraim
Surnom(s) : Effie. Perdy
Âge : 23 ans
Date et lieu de naissance : 17 novembre 1985
Nationalité : Irlandaise

Occupation : Anciennement étudiante en médecine, mais elle a abandonné les études après l’accident. Pour l’instant, elle travaille comme barmaid. Refusant de reprendre le métier qu’elle faisait si bien pendant sa descente en Enfer.

II. Biographie

Contexte familial :

Ephraim Tomlin :

«RICHARD ! Coma Back here !! Right now !! »

La petite Effie avait regardé son grand frère s’enfuir en courant. Elle savait bien qu’il venait de prendre le blâme pour elle, mais il s’était enfuit et personne ne tournait le dos à leur père sans avoir de conséquence. Coupable où pas Richard avait fuit ses responsabilité et s’était une chose que son père ne tolérait absolument pas. Alors prise de panique, elle était entrée dans la cuisine en regardant le bout de ses petits orteils. Elle s’approcha lentement craignant la réaction de son père en voyant qu’elle n’était pas couchée encore.

« Papa ?! »

Il ouvrit la bouche pour la réprimander, mais voyant son expression il se contenta d’ouvrir les bras et de la laisser s’y blottir.

« Qu’est ce qui se passe, Effie ? Est-ce que je t’ai réveillée ? »

Signe négatif de la tête.

« Tu t’inquiétes pour Richard parce que c’est toi qui à cassé le vase ? »

Expression surprise de la petite.

« Pourquoi tu l’as disputé alors ? »

« Parce qu’il a mentit, Effie. Tu n’y aurais pas échappé non plus. Je pensais te donner ta punition demain matin, mais comme tu es debout je vais te la donner tout de suite. »

Un silence lourd s’installa entre le père et sa fille. Puis la pénitence tomba et elle retourna à l’Étage la tête basse, mais elle ne retourna pas dans sa chambre. Elle alla s’installer dans la chambre que Richard partageait avec Frank et s’assit en silence sur le lit de son grand frère attendant patiemment qu’il rentre à la maison pour s’excuser.

Anna Fitzgerald Tomlin :

« Ou est maman ? »cria Jonas de sa chambre.

« Je sais pas. Tu demanderas à papa. Il était supposé la conduire au travail ce matin. »

Ainsi se passait la plupart de leur journée. Anna partait tôt sans dire aurevoir à ses enfants et revenait très tard le soir. Laissant à sa fille unique la charge de toute la maisonnée sur ses petites épaules.

« Papa ? Maman est supposée revenir à quel heure aujourd’hui ? »

Habituellement, il aurait répondu sur un ton bourru qu’il en savait rien, mais ce soir il baissa la tête et garda les yeux fixé sur son assiette. Aussitôt Perdy s’inquiéta.

« Qu’est ce qui se passe, Papa ? » demanda Jacob d’une voix incertaine.

« Votre mère nous a quitté, voila ce qui arrive. »

Plus personne ne prononça un mot. Laissa leur père tranquille, ils s’occupèrent de leur tache sans qu’on ait à leur dire et aucun cri, aucune dispute ne se fit entendre ce soir là.

Jonas Tomlin :

« FUCKING HELL !! PERDITA EPHRAIM TOMLIN ! RAMÈNE TON CUL ICI »

Sans aucune trace de remord, elle descendit à la cuisine rejoindre son frère jumeau.

« Arrête de crier comme ça. Richard et Frank dorment. Ils ont travaillé toute la nuit. »

« N’essais pas de t’en sortir en détournant le sujet. Tu n’y arriveras pas ! »

« Du calme, Jo’ ! »

« Pourquoi je me calmerais ? Tu m’as fais passé pour un parfait imbécile devant la femme de ma vie. »

L’adolescente éclata de rire bien trop fort puisqu’on put entre leur deux frères lâcher des jurons parce qu’elle venait de les réveiller.

« Arrête. J’ai fais ça pour te bien. Cette fille n’est pas faite pour toi. Elle t’aurait brisé le cœur. »

Son frère lui servit un regard meurtrier, mais il ne répliqua rien. Il savait qu’elle avait raison. Il ne pouvait pas lui en vouloir. Elle était sa moitié. Carrément. Aucune fille ne pourrait remplacer sa sœur.

Richard Tomlin :

« JE VAIS LE TUER !JE VAIS LE TUER !JE VAIS LE TUER ! »

Les cris de son ainé résonnaient dans toute la maison tandis qu’elle restait rouler en boule sous ses couvertures.

« Jo’ !! JONAS !! Dis-moi son nom ! »

« Elle a refusé de me le dire, sinon le gars serait déjà dans un fossé tu le sais bien. »

Le ton montait et elle les écoutait proféré des menaces de plus en plus violente. Richard et Jonas rassemblant Jacob et Frank pour aller à la pêche au renseignement comme refusait de leur donner quelconque information sur l’homme qui avait osé la toucher. Jonas était d’ailleurs persuadé que c’était contre la volonté de sa sœur. Il avait seulement fait l’erreur de confié ses doutes à son frère ainé qui s’était aussitôt emporter. Ce soir là, les hommes Tomlin partirent à la chasse et elle ne les entendit pas rentrée, mais le lendemain matin à l’école les bruit couraient que Peter Donnelly était entré d’urgence à l’hôpital après qu’une gang de rue l’ait attaqué. Pourquoi ses frères ne se laissaient pas dans une carrière d’investigateur ça elle l’ignorait.

Jacob Tomlin :

Ses paupières étaient lourdes. La journée avait été longue et pénible. Les hopitaux n’Avait jamais étaient son point fort. Elle détestait y mettre les pieds. Encore moins pour une femme qui les avait abandonné à la première occasion. Pourtant son père en avait fait un ordre stricte à respecter. Tous ses enfants devraient témoigner respect à la femme qui avait un jour été leur mère. « Et non ta grossesse n’est pas une excuse pour ne pas y aller », avait-il déclaré en pointant son gros doigt vers son ventre tout rond. Malgré cette journée épuisante pour tout le monde, Jake était resté levé pour faire couler un bain à sa petite sœur. Lui préparer un bon repas puisqu’elle avait peine à le faire elle-même en cause de son ventre qui grossissait à vu D’œil. Il s’était promis de prendre soin d’elle. Richard la protègerait. Il était bon avec ses poings lui n’y connaissait rien en bataille, mais il pouvait l’aider avec son algèbre alors que la migraine prenait le dessus. Il pouvait lui faire des petits plats bizarre parce que ses goûts étaient décalé comparer à ceux du reste de la tribu. Il pouvait l’accompagner dans le bureau du travailleur social pour porter plainte contre Donnelly. Et il pouvait être à ses côtés alors qu’elle signait les papiers qui lui enlèveraient tout droit sur son enfant. C’était le décision la plus sage. Elle l’avait pris toute seule. Personne n’avait osé le lui proposé, mais il était celui, le seul peut-être, à pouvoir lui offrir son support inconditionnel puisqu’il se rendait compte de sa tristesse chaque fois que le sujet revenait sur la table.

Et il l’avait fait. Il le faisait encore. Pourtant son ventre était partie, mais Jake restait à ses côtés la berçant jusqu’à ce que les larmes se tarissent quand les regrets lui frappaient au cœur. Elle n’avait plus son bébé, mais elle avait toujours sa famille.

Frank Tomlin :

« Effie ? » demanda la voix à l’autre bout du fil, comme incertaine que ce serait elle qui répondait alors qu’elle était toute seule à la maison.

« Oui, Frankie ! »

« Bah ! Tu sais ! C’est de la faute aux Peterson. C’est eux qui nous ont forcé à boire » déclara son ivre de frère.

Elle n’avait pas besoin de plus d’explication. Elle était souvent de corvée de taxi dernièrement. Frankie était le plus jeune de ses frères et aussi le seul à vraiment s’intéresser à l’entreprise de leur père. Un pub ! Un foutu pub comme elle l’appelait toujours. Il passait donc son temps là-bas à aidé son père à tout gérer avec Jonas qui avait pris la relève depuis que Jacob et Richard étaient maintenant marié donc des hommes libres. Les deux avaient quitté l’île. Richard avait même traversé l’océan. Partie pour la Canada avec sa femme qui y travaillait. Malheureusement pour ses le benjamin ainsi que son frère jumeau aimait trop les Peterson. Particulièrement Bella qui aurait pu leur faire avaler n’importe quoi qu’en papillotant des yeux et en se penchant pour leur donner un jolie coup d’œil sur son décolleté.

« J’arrive d’accord. Dis à papa de sonner le Last Call. Il monte lui aussi et s’il rouspète je l’embarque de force. »

Attrapant ses clés sur le comptoir de la cuisine elle s’arrêta une seconde pour se frotter les yeux. Elle devrait peut-être rappeler et dire à Frankie qu’elle leur envoyait un taxi.

*Nah. C’est seulement à deux pâtés de maison tu arriveras bien à rester réveillé pour revenir.*

Bienvenue

Je ne réserve pas de vava puisqu'il n'y a pas de mention. tongue

Welcome SAF Perdita E. Tomlin_ Terminé 845472

je suis toujours une saf vous devriez en avoir l'habitude!! XD Perdita E. Tomlin_ Terminé 701585

LOLOTE!!!!! j'aime ton vava Perdita E. Tomlin_ Terminé 94230

Anecdote de la vie actuelle : Elle attrapa le plateau en soupirant. Lorenza avait eu un pépin et Aidan lui avait demandé de la remplacer. D’accord, c’était un bien pour un mal. Plus d’argent sur son chèque, mais comme Lorenza était serveuse ça compliquait la tâche pour la jeune femme antipathique qu’elle était. Elle passa donc la soirée à se faufiler en les tables et les clients pour donner des boissons. Elle cassa une bonnes douzaine de verre et en renversa une autre douzaine sur divers client. Elle était définitivement plus efficace derrière un bar. Il n’y avait pas de serveuse dans les bars d’où elle venait. Fatiguée, elle avait baissée sa garde. Il ne lui restait plus que quelques heures de torture et elle pourrait rentrer chez elle. Pas tout à fait puisqu’elle n’avait toujours pas trouvé un appartement qu’elle pouvait se permettre. Elle avait des dettes à payer avant de pouvoir avoir un toit au dessus de sa tête. Elle trouverait bien un moyen pour se faufiler dans la réserve sans que le patron la voit.

Depuis le début de la soirée, elle évitait une table en particulier. De gros bedonnant dans la cinquantaine la regardant comme si elle était la mannequin du mois de mars dans un calendrier osé. Elle n’aurait pas été surprise de les voir baver, mais elle essayait de ne pas avoir peur. Elle savait se défendre après tout, mais un d’eux lui rappeler le Vieux Donnelly. Ramenant à la surface une tonne de vieux mauvais souvenir qu’elle ne tenait pas à déterrer ce soir. Son plateau à la main elle prit une grande respiration. Elle était forcée de passer à proximité de l’.homme tant répugner pour aller rejoindre les clients qui attendaient leur commande. Elle ne pouvait pas faire autrement. Elle se faufila de son mieux, mais l’homme la vit au dernier moment et se saisit de l’occasion pour l’attirer à lui par la taille. Lui faisant échapper son plateau et attirant le regard de tout le monde sur elle maintenant sur les genoux d’un inconnu qui lui rappelait vaguement son pire cauchemar. Elle aurait voulut de débattre lui mettre son poing dans sa foutu face d’ivrogne, mais elle en était bien incapable tellement tout les muscles de son corps s’était raidit. Elle chercha rapidement Aidan du regard tandis que l’homme murmurait quelque chose à son oreille, mais ce ne fut pas son patron qui apparut devant eux pour la libérer, mais bien un autre client. Elle se souvenait même pas l’avoir servit en fait. Aussitôt qu’elle fut libérer, elle fit quelques pas en arrière n’osant pas s’interposer. Ils se jaugèrent du regard un moment avant qu’elle ne se sente finalement assez courageuse pour s’interposer.

« Mais c’est qu’il est lent à la détente le prince charmant. On vient sauver la demoiselle. Dis elle est pour moi ce soir. T’auras qu’à attendre ton tour. »

Elle n’eut même pas le temps de se sentir choqué par les paroles offensante qu’il venait de prononcer son sauveur venait de lui mettre son poing à la figure. Ce n’ait qu’à ce moment qu’elle retrouva toute sa tête. S’interposant directement entre eux comme elle le faisait avec ses frères.

« Chéri !! S’il te plait ! Il n’en vaut pas la peine », dit-elle assez fort pour que l’énorme tas de grasse l’entende pensant que peut-être il renoncerait en réalisant qu'elle était prise.

« Encore pire !! Tu devrais te trouver mieux ma mignonne. Une femme comme toi. Faut surveiller ça. »

Elle posa la main sur le torse de son défenseur dès qu’il fit un mouvement en avant l’arrêtant avant qu’il ne fasse plus de dommage.

« Monsieur, je vous prierais de quitter l’établissement sans tarder. »

L’homme bougonna pour la forme, mais se dirigea tout de même vers la porte de sortie. Prise d’un soudain besoin d’air, elle s’était éloigné à grand pas vers la sortie de secours ne s’inquiétant pas des pas qu’elle entendait derrière elle. Elle venait tout juste d’allumer sa cigarette quand le jeune homme poussa la porte.

« Vous allez bien ? Il ne vous a pas fait mal. »

« Non, ça va. Rien de cassé. Merci chéri !! »

Un silence bienvenu s’installa. Il n’était pas lourd ou embarrassant au contraire.

Écrasant son mégot avec le talon de sa botte, elle se retourna finalement vers lui.

« Et quel est ton nom que je puisse arrêter de t’appeler chéri ? »

« Damiano. »

« PErdy. Enchanté, preux chevalier. »

***

Elle secoua la tête d’un signe négatif avec une vigueur qui ne lui ressemblait pas. Non, elle n’était pas malade. Non, elle ne voulait pas retourner chez elle dormir. Oui, elle était blafarde. Non, elle ne pouvait rien y changer.

*Oui, tu peux te la fermer sans que j’ai à le demander* pensa-t-elle alors que Aidan, son patron, arrêtait finalement de régurgiter ses questions.

Elle n’allait quand même pas lui dire qu’elle n’avait pas de lit pour dormir et que comme il avait fait les fermetures avec elle ces deux derniers jours elle avait été dans l’obligation de trouver un autre coin que celui de la réserve pour dormir. Et elle se voyait mal débarquer chez Fisher à cette heure. Elle aurait pu prétexter une insomnie massive pour qu’il la laisse travailler, mais elle aurait dû travailler quand même. Elle avait donc passé une partie de la nuit en vadrouille avant de tenter le numéro de Damiano. La nuit passerait plus rapidement avec de la compagnie. Pas de réponse. Dommage ! Elle avait besoin d’air, donc accompagné ou pas, elle allait faire un tour dans la Marina. La nuit s’était donc finit assez rapidement avec beaucoup d’alcool et quelques joint plus tard. Résultat, elle avait une tronche de sans abri quand elle s’était réveillée dans un appartement qui lui était inconnu, avec un mec inconnu à ses côtés. Enfilant son jeans en silence, elle se sauva en voleur.

***

“Non, Jake tout va bien », réussit-elle à dire d’un ton assez convainquant à son frère.

« Tout va bien, je te dis. »

Elle fit aussitôt signe à Damiano qui se tenait derrière elle de garder le silence, mais le jeune homme s’acharnait à vouloir la faire éclater de rire ce qu’elle fit finalement. De l’autre côté de la ligne, l’inquiétude de Jacob venait de disparaitre par miracle. Il n’avait pas entendu rire sa petite sœur depuis des années. Il la laissa donc aller. Elle lui avait dit avoir un job dans un garage. Ce qu’il avait trouvé absolument amusant. Elle les avait tous obliger à faire eux même leur lavage en cause de leur vêtements taché d’huile. Maintenant elle gagnait sa vie comme ça. Le pire était qu’il ne s’inquiétait pas vraiment pour ça. Elle avait passé tellement de temps avec eux dans le garage à remettre à neuf différente pièces de collections qu’elle était aussi sinon plus connaissance qu’eux dans le domaine.

« Faut que j’y aille d’accord. Je t’aime. On se reparle cet semaine.»

Dès qu’elle eut raccroché. Elle perdit son sourire au grand désespoir de son ami. Elle se sentait mal d’être une source d’inquiétude pour tellement de gens. Peut-être que si elle disparaissait ce serait mieux pour eux. Ils pourraient finalement faire leur vie comme ils le voulaient sans interférence. Une main sur son ventre elle pensa au bébé qu’elle avait autrefois donné en adoption. Ça avait été à l’poque la meilleure option qui S’offrait à elle. Elle n’avait que 16 ans après tout. Elle ne pouvait décemment pas avoir un enfant, mais elle avait souhaité qu’il connaisse une belle vie et n’importe quel couple adulte pourrait mieux faire qu’elle. Pourtant, elle ne pouvait pas s’empêcher d’y penser. Si elle l’avait gardé. Elle aurait eu quelqu’un sur qui compter. Quelqu’un qui dépendait d’elle. La forçant par sa simple présence à rester dans le droit chemin. Pour lui, pour eux. La vie serait peut-être moins pénible de cette façon.

Sortant de sa rêverie, elle regarda Dam qui la regardait avec des yeux de merlan frit.

« On aurait dit que tu étais à des kilomètres. »

« Je l’étais en quelque sorte. » murmura-t-elle en baissant les yeux.

Il était son ami et s’inquiétait de son sort lui aussi. Probablement pensait-il qu’elle était une pauvre et petite fille sans défense. En fait, elle l’était même si elle s’efforçait de rien laisser paraitre. Elle l’embrassa rapidement sur la joue et se remit sur ses pieds. Salua Fisher et se dirigea à l’extérieur. Dam devait se préparait pour un combat et elle avait promis d’y assister.

***

Elle essuya le dernier vers en soupirant. Elle avait repoussé le plus longtemps possible son départ espérant que Lorenza lui demanderait de faire la fermeture à sa place, mais la jeune femme n’en fit rien. DE toute évidence, elle était en grande conversation avec un couple d’ami, Luca et Cris, à ce qu’elle avait pu comprendre de ou elle était. Profitant de l’inattention de la sœur du patron, donc de mini-patron comme elle l’appelait mentalement, elle se faufila dans la réserve ou elle avait établit son campement. Ignorant que le grand brun au bar l’avait vu s’exécuté. Elle s’endormit sans crainte ce soir là. Même si l’endroit n’était pas très confortable au moins elle avait un toit sur la tête et un toit qu’elle n’avait pas à payer de façon peu honorable comme elle avait déjà eu à le faire. Ici, il suffisait qu’elle se réveille suffisamment tôt pour se faufiler dehors avant l’ouverture. Elle allait au garage de Fischer et commençait à travailler là-bas jusqu’à son prochain quart à la Cisterna. Rien de compliqué, du moins elle le pensait jusqu’au soir suivant quand le grand brun de la veille l’avait interpellé avant qu’elle n’entre dans l’établissement.

« Alors tu dors ou ce soir ? »

III. Détails supplémentaires

Particularités :

Ce que les autres ne savent pas forcément :

IV. Autres

V. Conclusion

Avatar : Michelle Tratchenberg

Pseudo : Lemy
Garçon ou fille : Filleuuuhhhhh
Où avez-vous connu le forum ? baah j’étais dans la première saison.
Commentaires : XP Nouvelle technique. Beaucoup de très courte anecdote !! XD