Fabrizio Tomasi - Sweet Daddy Cool

I. Carte d’identité

Nom(s) : Tomasi.
Prénom(s) : Fabrizio, Lorenzo.
Surnom(s) : Tomasi a du supporter au moins une bonne centaine de surnoms depuis qu'il est tout petit. Des variantes de son prénom aux appellations de sa femme, Fabrizio peut passer des heures à lister les surnoms dont il a connaissance : Fab', Fabri, Brizio, peu original... Gamin, on l'appelait Tomate, aujourd'hui, il se donne un malin plaisir à surnommer ses enfants ainsi. Papa, P'pa ou le Tortionnaire sont d'autres petits mots qu'Aidan et Lorenza usent de temps à autres. Papy, et même Le Vieux sont de douces expressions que ses amis et Megara lui ont attribués depuis la naissance de son petit-fils. C'est avec fierté qu'il se renomme SuperPapy.
Âge : Quarante-quatre ans.
Date et lieu de naissance : Un 10 avril, à Naples.
Nationalité : Italienne.

Occupation : Débrouillard et surtout indomptable, Fabrizio n'a jamais eut la moindre attirance pour les études. Son père le chambrant dés son plus jeune âge en lui disant que l'on arrivait à rien sans études, Fabrizio a quitté le domicile familial en affirmant que même sans diplômes, il arriverait à avoir une vie professionnelle dynamique. Enfant, il passait le plus clair de son temps dans le café de son grand-père, après l'école, qui lui offrait toujours avec sa limonade un morceau de chocolat qu'il calait avec toujours autant de bonheur entres ses dents. C'est ainsi qu'il eut l'idée de monter son propre bar, la convivialité italienne et de l'ambiance de ce genre d'endroit le fascinant depuis toujours... c'est avec beaucoup de travail que Fabrizio fonda la Cisterna, réputé à Naples et qui n'a pratiquement pas connu de réel désintérêt de la part de la population italienne. Aujourd'hui, il a laissé la Cisterna à ses enfants, Aidan et Lorenza, et même si il ne le dit pas, il est fier d'eux et trouve qu'ils s'en sortent très bien. Aujourd'hui, il aide sa femme Megara à la galerie d'art. Cependant, il ne se prive pas de quelques visites surprises à la Cisterna où bon nombre des clients le reconnaissent et lui font la causette des heures durant.

III. Détails supplémentaires

Particularités :

- Son narcissisme. Hum. Cela a toujours été un véritable problème chez lui. Peut importe avec qui le patriarche est, il trouve toujours une réplique ou une situation pour introduire ou son charme ou sa culture générale, n'hésitant alors pas une seconde à se faire passer pour un lourdeau de première... Peut-être est-ce son caractère charmeur qui a confié à Fabrizio cette tendance à user, humoristiquement parlant, de tous les atouts qu'il possèdait pour faire la conversation. Oh, il est bon de noter une chose : rien ne peut nuire à sa virilité. Ni le fait que son fils soit papa, ni son portable dans la poche avant de ses jeans.

- Son petit-fils. Croyez-le ou non, Fabrizio -LE Fabrizio permissif mais pourtant ferme en ce qui concernait l'éducation d'Aidan et de Lorenza- ne pourra jamais réprimander une seule seconde son petit-fils lorsqu'il sera en âge de marcher à quatre pattes et de faire toutes les bêtises que son père a pu bien faire avant lui. Il est fou de ce petit bout de chou et il n'hésite pas une seule seconde à envoyer Aidan faire des courses juste pour pouvoir garder Matteo avec lui. Et puis, vous en voyez souvent, vous, des grands-pères de 44 ans?

- Cheveux, barbe ou pas barbe. Fabrizio est un homme qui, en se réveillant le matin, n'a pas toujours la tête à penser au rasage ni même à prendre le temps de passer un coup de peigne dans ses cheveux afin de remettre de l'ordre dans toutes ses mèches désordonnées. C'est pour celà qu'un jour vous pouvez le voir barbu, l'autre rasé de près, et assurément le voir passer une main assurée dans ses cheveux au moins trois fois... toutes les demies-heures.

- Le 'Daddy Cool'. Quelque fois, lorsqu'il est assis dans sa rockchair sur le perron, et qu'il regarde sa famille gambader dans le jardin, il ne peut s'empêcher de sourire béatement. Ces gosses qui squattent litéralement sa maison depuis qu'ils sont tout petits, il a apprit à les connaître et à les protéger. Même s'il a l'impression de faire des courses pour un régiment deux fois par semaine, il ne peut s'empêcher de traîner sa femme dans les magasins afin de lui faire les yeux doux pour la persuader d'acheter toutes les conneries que les amis de ses enfants ingurgitent à longueur de journée. D'ailleurs, il arrive parfois à Fabrizio d'avoir envie de se cacher parmi eux pour faire tourner en bourrique Meg. Il adore la voir tout faire pour rendre les visites des amis d'Aidan et Lorenza plus agréable que possible.

- Sa voiture et les CDs qui vont avec. Bien que Meg ne raffole pas du tout des automobiles, Fabrizio bichonne et adule celle qui le porte depuis quelques années. D'occasion, il a prit grand soin à écouter les paroles d'un de ses amis mécanos qui lui a filé quelques tuyaux en ce qui concernait l'immortalité des voitures. Il ne s'en sert que si il doit se rendre à plus d'un kilomètre de l'endroit où il est. Non écolo? Non, ce n'est pas ça. C'est juste que les CDs des Dire Straits et de Bruce Springsteen sont à l'intérieur et que jamais l'idée de les retirer de la voiture pour les écouter chez lui ne lui serait venu à l'esprit.

Ce que les autres ne savent pas forcément :

- Fabrizio a toujours peur qu'il arrive quelque chose à sa famille. Le matin, en se réveillant, il ne peut s'empêcher d'embrasser sa femme afin de s'assurer qu'elle est bel et bien là, près de lui, et que leurs vingt ans de vie commune ont réellement existées. Et puis, même si il a toujours été dur en ce qui concernait l'éveil de conscience de ses enfants, les mettant souvent au pied du mur, il craint toujours qu'un évènement ne vienne les détruire du jour au lendemain. Ce qu'il s'est passé avec Aidan l'a d'ailleurs beaucoup affecté mais aujourd'hui, il préfère être à ses côtés en bon père et parfait conseiller plutôt que d'être près de lui à lui dire : tu verras, tu oublieras. Ce qui est totalement faux, puisqu'il n'oubliera jamais. Ce sont ses petits bébés, même si aujourd'hui ils sont devenus de grandes personnes...
- Tomasi a une peur incroyable de l'eau. Il l'évite comme la peste... Son père a bien faillit le noyer un jour, alors qu'ils étaient à la piscine de leur quartier. Il s'amusait à porter Fabrizio et à le jeter à la flotte dés que le moment se présentait. Un jour, il n'est pas remonté à la surface. Le manque d'air lui revient toujours à l'esprit lorsqu'il s'approche d'une piscine ou qu'il contemple la mer.
- Si ses parents ont toujours été réticents face à son union avec Megara, c'est uniquement de sa faute. Avant elle, Fabrizio avait eu une relation sérieuse. Une pemière, surtout lorsque vous avez 17 ans et que la demoiselle tombe enceinte. Ses parents ont été sidérés par la nouvelle et ils interdirent à Fabrizio de revoir la brunette lorsque cette dernière perdit l'enfant. Il oublia bien vite l'histoire mais ses parents, eux, voyaient d'un très mauvais oeil cette nouvelle italienne que leur fils avait épousé si rapidement et qui tomba enceinte quelques semaines après seulement. Megara sait qu'il y avait eut une 'autre' dans la vie de Fabrizio, pas qu'elle avait été enceinte et qu'elle guettait la moindre occasion pour épouser Fabrizio.

IV. Autres

- Fabrizio a décidé d'arrêter de fumer lorsqu'il a rencontré Megara.
- Il est systèmatiquement en retard à tout ses rendez-vous. Il n'aime pas les contraintes.
- Tout comme son fils, il fait tout pour se décharger de la corvée couche qu'impose Matteo.
- Il a souvent joué des morceaux de guitare à ses enfants lorsqu'ils étaient encore tout petits. Aujourd'hui, il aime beaucoup en jouer avec eux...
- Il a horreur des médecins et autres hôpitaux. On a d'ailleurs eut beaucoup de mal à lui faire passer la porte d'entrée lors de l'accouchement d'Aidan.
- Il lui arrive d'etre grossier et politiquement incorrect.
- Il serait capable de manger du caramel à longueur de journée.
- Si la Cisterna n'avait pas marché, il se serait très certainement fait engager dans l'armée.
- Tel père, tel fils : si Aidan est doué pour les blagues vaseuses, son père l'est tout autant.
- Il est étonnament sérieux lorsqu'il s'agit de la galerie d'art de Megara. Il prend son rôle à coeur et ne mélange pas histoires personnelles à histoires professionelles. L'inverse est bon à prendre aussi.
- Il aimerait passer un mois dans un vignoble français.
- Fabrizio ne va que rarement rendre visiste à ses parents. Limite, si il pouvait éviter de les appeler...
- Il déteste ses beaux-parents. Comment ça? Vous aussi?
- Lorsqu'il entend une de ses musiques favorites, il chantonne dessus pendant la diffusion du morceau et... des heures après aussi.
- Il adore embêter (emmerder littéralement) Mégara en la surnommant Nonna (Grand-mère).
- Depuis qu'Aidan se refait tous les Disney, Fabrizio assiste à chaque visionnage d'Hercule. Hercule, c'est lui. Non, non. Ce n'est pas à cause de Megara...


V. Conclusion

Avatar : Gerard Butler.

Pseudo : Natie (en espèrant être à la hauteur du poste )
Garçon ou fille : Heuu... * vérifie *
Où avez-vous connu le forum ? Hahem. Toujours la même personne qui me montre ses fiches et qui me donne envie de m'inscrire partout où elle passe. Ma Vache Kiri (AKA Anarya)
Commentaires : * court se cacher avant que s'Kiri revienne demain et ne meurt d'une crise cardiaque en me hurlant dessus *

II. Biographie

Contexte familial :

-Je déteste ton père…
-Et moi, l’autre Harpie !
-Arrête d’appeler Maman comme ça ! Lança Megara, outrée, alors qu’elle passait une énième fois devant le bureau de la directrice de l’établissement.

Aidan sur les épaules, Fabrizio trouvait que le temps se faisait long. La chaleur commençait à être insupportable, le petit morveux qui était au-dessus de sa tête avait les mains collantes –il n’hésitait d’ailleurs pas à les poser sur le front où les joues râpeuses de papa Tomasi- et en plus, Megara remettait sur le tapis ce diner raté qui avait eut lieu avant le départ de la petite famille, venue au Chili exprès pour se voir agrandir. Si ce n’était pas pour adopter un des petits bouts de chou qui étaient placés ici, Fabrizio aurait rejoint bien vite l’hôtel dans lequel ils étaient descendus afin de faire prendre un bain au petit Aidan qui semblait prendre un malin plaisir à coller dans les cheveux de Tomasi tous le sucre dont ses mains étaient recouvertes.

-Et puis, tu sais, la Cisterna peut très bien tourner sans toi quelques jours, tu n’as pas besoin d’écouter toutes les bêtises qu’elle peut bien sortir tu sais ?
-Ta mère me prend pour un minable, Meggy, tu peux comprendre que je ne sois pas plus chaud que ça à l’idée de devoir l’avoir encore une fois à dîner. Ma mère est beaucoup plus tolérante !
-Oui, mais ton père me prend pour une traînée…

Prenant un air choqué, Fabrizio lança à sa femme : « Mais, arrête de m’insulter devant mon fils ! Je demande le divorce s’il me ressort ce mot un jour !
-Arrête de dramatiser, pour l’instant il a sa tétine dans la bouche…
-C’est bien ça le problème ! Quand est-ce que tu vas enfin te décider à retirer ce morceau de caoutchouc de là?! Il doit être un homme, un vrai ! Pas avoir l’air d’un bébé qui courra toujours dans les jupons de sa…
-Puis-je vous aider ? La directrice de l’orphelinat était sortie de son bureau. Ses cheveux poivrés étaient impeccablement tirés et il se demandait quel genre de laque cette femme pouvait bien utiliser pour réussir à porter une telle coiffure dans un pays où l’été, il n’était pas bon de sortir en pleine journée. Déjà que sa douce et tendre n’arrivait pas à faire tenir une simple queue de cheval, alors une vieille avec un chignon, Fabrizio était tellement soufflé qu’il tirait bien bas son chapeau…

-Hop bonhomme, tu vas descendre là et nous attendre sagement, je suis juste là avec ta mère. Fabrizio, après avoir montré le bureau de la directrice situé à trois mètres d’eux, prit un air grave et pointa son index devant son visage et c’est en tapotant sur le petit bout de nez d’Aidan qu’il ajouta. Si tu n’es pas là à mon retour, je peux t’assurer que tu vas passer un sale quart d’heure ! Automatiquement, Aidan secoua deux fois la tête afin d’assurer à son père qu’il ne bougerait pas de son poste. Bien, repos, soldat !

-Vous cherchez donc Tia ? C’est son jour de garde à l’hôpital de la ville aujourd’hui malheureusement, je peux vous conseiller une autre auxiliaire qui vous orientera vers les différentes ailes de l’orphelinat, si vous le souhaitez…

Megara acquiesça frénétiquement puis, ne prêtant pas attention à son mari, elle entama avec la directrice une longue conversation en rapport avec les orphelins qui se trouvaient dans l’endroit. Admiratif et presque étonné d’une telle fougue de la part des deux femmes, Fabrizio n’avait pas ouvert une seule fois la bouche préférant apprendre le plus de chose sur ce qu’il se passait ici, au Chili, pour des petits orphelins défavorisés. C’est lorsque Megara se mit à parler de l’inquiétude qu’elle avait par rapport au choix qu’avaient fait les parents Tomasi par rapport à leur fils Aidan que -par fierté d’avoir procréer un bout de chou si mignon ou par simple réflexe, un peu des deux, non ?- Fabrizio détourna son regard afin de voir si le petit Tomasi était bel et bien à son poste, comme il le lui avait demandé plus tôt.

-Mesdames, excusez-moi mais… nous avons perdus Aidan !

Les trois adultes, les Tomasi complètement paniqués, cherchèrent Aidan dans les pièces des moins de dix ans, puis la directrice dirigea le groupe vers les enfants qui étaient en pleines siestes. En le voyant au loin, Fabrizio dépassa Meg et la directrice-au-chignon-parfait afin d’expliquer très clairement à Aidan sa façon de penser, mais en le voyant aux côtés d’une petite demoiselle qui avait dans la bouche la tétine tant haïe d’Aidan, le regard de Fabrizio s’adoucit immédiatement et c’est avec une voix complètement –disons-le franchement- débile qu’il se présenta à la petite demoiselle.

-Bonjour jolie princesse, comment tu t’appelles ? Moi, je suis le plus fort et le plus beau Fabrizio ! Le petit nain que tu vois là –à ce moment, en souriant béatement, il posa sa lourde patte sur le crâne d’Aidan- c’est Tomate fils !

Fabrizio avait adopté émotionellement la petite demoiselle qui lui avait, en un regard, fait oublier tous les petits tracas qui le hantait et la mauvaise humeur que le rappel des vieux Giulani avait installé. Quelques heures plus tard, Megara et Fabrizio adoptèrent officiellement la petite demoiselle et c'est la semaine suivante qu'ils purent emmener Lorenza -rebaptisée selon le second prénom de Fabrizio- en Italie.

***

Au jour d'aujourd'hui, bien que la routine et le travail à la galerie d'art enlise son couple, Fabrizio est toujours autant amoureux de sa femme que depuis le début de leur relation, si ce n'est plus. Il entretient une relation privilégiée avec ses enfants et même si au jour d'aujourd'hui il donne l'impression de les laisser prendre leur vie en mains, il ne peut empêcher son coeur de se serrer en voyant Aidan tentant de changer la couche de Matteo ou bien Lorenza mener front professionnel et personnel d'une main de maître. Cependant, il ne regrette pas du tout le fait d'avoir arrêter de lui donner son argent de poche, ça l'a poussée à être beaucoup plus indépendante.

Fabrizio profite de cette nouvelle paix, pas d'enfants à descendre des armoires, pas de bouches à essuyer et plus de caprices dans les magasins... Quoique, devant la moue de sa fille, de temps à autres, il ne peut s'empêcher de remarquer qu'il est encore bien faible devant 'Le Regard' de Lorenza... Il prend très bien le fait d'être devenu Grand-Père et bien qu'il préfère la compagnie de sa femme, il adore voir sa maison remplie du groupe d'amis d'Aidan et Lorenza, bien que quelque fois, il ne comprend pas la 'situation de crise' que ces derniers traversent.

Anecdote de la vie actuelle : « MEEEEEEG »
« Quoi ? Quoi ? » Megara avait descendu l’escalier de la maison Tomasi en quatrième vitesse, des vêtements plein le bras gauche et un torchon à vaisselle dans l’autre.
« J’ai extrêmement faim. Qu’est-ce qu’on mange ? » Le doux regard que lança Fabrizio à sa femme la laissa sans voix. S’adossant à l’encadrement de la porte, elle éclata de rire face à la tenue de ce dernier. Fabrizio n’était vêtu que de son pantalon de smoking noir, et d’un superbe tablier de la même couleur où une charmante inscription –NB : Kiss the cook- entourait un petit bonhomme stéréotypé pizzaiolo italien, sans chemise ni pull en-dessous.

« Qu’est-ce que tu fais ? » Continuait Meg, qui laissa tomber les vêtements qu’elle tenait sur le canapé prenant place à ses côtés, allongeant ses jambes en travers des siennes. « Moi ? Rien du tout, je te demande ce que tu comptes me faire à manger… Ecoute… il gargouille ! »

Megara entoura ses bras autour des épaules de son époux et, en secouant affirmativement la tête, elle lui dit. « Oh, oui Mr Tomasi, je l’entends… Vous allez très certainement avoir un garçon, il fait beaucoup de bruit ! » Fabrizio approcha son visage de celui de sa femme et, avant même d’avoir réussi à poser ses lèvres sur celles de Meg…

« Je ne changerai pas ses couches ! Hors de questions ! Démerdes-toi ! »
« Lo’ ! Tu peux pas me faire ça ! T’avais promis de changer ses couches jusqu’à mercredi… mercredi, c’est dans 5 heures ! »

Lorenza jeta son gilet sur le tas de vêtements propres éparpillés sur le canapé et, elle calla ses poings sur ses hanches telle une conquérante.

« Ca, c’était avant que tu ne termines mon pot de Nutella ! C’est ton problème, tu te démerdes, moi je vais aller me jeter dans les affres de la bouf… Oh… » Le teint mat de Lorenza vira immanquablement au rouge.

« Oh, M’man, qu’est-ce qu’on mange ? » L’air d’Aidan était celui d’un petit merdeux jubilant rien qu’à l’idée d’avoir interrompu ses parents dans l’un des rares moments d’intimité que les parents – grands-parents - Tomasi s’accordaient ces jours-ci.
« Demande à ton père ! » Megara embrassa son époux et repartit à sa tâche du pli des vêtements.
« P’pa ? Tu peux changer la couche de Matteo ? »

Fabrizio ferma ses paupières à demi et l’air qu'il affichait était soit celui d’un pauvre homme frustré ou bien celui d’un père qui réfléchissait activement si, oui ou non, il devait accepter la requête de son fils.

« C’est de la faute à Lorenza… Tu te démerdes ! » Le sourire carnassier qu’affichait Fabrizio laissa Aidan dans un moment de vide intense. Plus un mot ne passait la frontière de leurs bouches et, après quelques instants, Fabrizio se leva afin de s’approcher d’Aidan. Il lui mit une tape dans le dos, puis il proféra les habituelles paroles de Papy Gâteau à Matteo avant de s’éclipser vers la cuisine.

« Oh, bonjour Mr Tomasi ! »
« Salut, salut, Gabriella ! Si tu cherches Aidan il doit être en train de combattre les couches tueuses… »
« Ah… il a fini le pot de Nutella ? »
« Ouep ! »
« J’mange ici ce soir ! » Lança Luca qui entrait dans la maison des Tomasi par la porte du jardin, à la suite de Gabriella…
« Je devrai peut-être condamner cette entrée… » Megara arriva dans la cuisine et c’est soupirant d’aise qu’elle découvrit Fabrizio aux fourneaux.

« T’es sexy là-dedans… »
« Je suis plus sexy encore sans ! »
« Beuuurk… vous pouvez éviter ce genre de conversation lorsque l’on est ici ?! » Lorenza se penchait avec attention à l’intérieur du frigidaire et sortait la bouteille de soda du bac à légumes. « C’est vraiment embarrassant… »
« Nous n’avons que 44 ans… »
« Déjà 44 ans ! » Lança nerveusement Meg, en attrapant les verres qui était dans l’un des placards de la cuisine.
« Ouai… c’est ce que j’ai dit, Nonna ! » Lança Fabrizio en ajoutant un peu d’herbes de Provence à sa sauce.
« Arrête de m’appeler comme ça ! »
« Je te surnomme comme je veux ! » Voilà que sa voix prenait une intonation de défi. Lorsque l’eau qui était dans la marmite se mit à bouillir, Fabrizio lança d’une voix forte…
« AIDAN ! QUI DOIT ENCORE SE RAMENER CE SOIR ? »
« Heu… CRISTINNA ? »

A ce moment, une jeune demoiselle fit son apparition dans la cuisine et c’est après avoir collé une claque sur l’arrière de la tête de Luca qu’elle lança, tout en criant à son tour…

« NAN J’SUIS LA ! »
« BON BA DEMERDEZ-VOUS AVEC L’AUTRE BOUFFEUSE DE CHOCOLAT ! »
« Lorenza ? » Questionna Fabrizio en jetant un regard paternel à sa fille qui semblait captivée par le tablier que portait son père.
« P’pa ! Fais tout le paquet ! »
« T’as raison… » Il jeta le kilo et demi de pattes dans l’eau puis, il lança à la brune. « Quoi ? Qu’est-ce qui s’passe ? Mon tablier a un accro ? »
« Nan… mais… c’est pas le tablier du voisin ça ? »

Fabrizio stoppa tout mouvement.

« Il est pas à ton frère ? »
« Nan … » Répondirent en chœur les amis d’Aidan et de Lorenza, tous attablés au comptoir de la cuisine.
« Nonna… prends place au fourneau… »
« Pourquoi ? »
« Il faut que j’aille me doucher… » Fabrizio s’enfuit de la cuisine, écoeuré àrien qu’à l’idée de porter le tablier de son con de voisin et surtout, d’avoir eut la stupide idée de vouloir charmer sa femme en lui faisant le cou du cuistot qui veut un bisou.

« Oh ‘Pa, t’as enfin décidé de venir me donner un coup de main ? » Lança Aidan, une pointe d’espoir dans les yeux.
« Quedal ! Je vais chercher la javel… »
« Oublie pas de rendre le tablier au voisin, quand t’auras fini… » Ricana Aidan.
« AAAAAAAH… »

Wouh prem's sur la fiche du Papounet
Eheh

Papou chériiii

Ca c'est du beau-père sexy

Welcome Natie

Samuel Fischer a écrit:

Ca c'est du beau-père sexy

Welcome Natie

Grave, on sait de qui tient son fils

Bienvenue beau papa

Les Tomates > Profitez pas non plus pour lui soutirer de l'argent

Samuel > Top méga sexy moi j'dirais, y'en a une qui va dire qui y'a pas plus sexy d'ailleurs. Merkiiii

Gabriella > Attention, Fabrizio peut devenir ton pire cauchemar

Merci à vous

Oh bah pourquoi, je suis gentille et puistu me connais depuis que je suis gosse puisque tu casa es mi casa XD Donc t'as intérêt à être gentil (cherchez pas le rapport...)

Gab' > Je sais aussi. Mais il est peut être emmerdant, très même, mais tu dois déjà le savoir D'accord, et les gauffres de mi casa son a Gabriella.

Il va quand même t'embêter, il vous embête toujours

Ca me gêne pas car comme tu dis, je suis habituée à me faire ennuyer à longueur de temps Ca sent la bataille de gaufres ça si tu me cherches trop XD
On aura le droit aux blagues pas marrantes comme tous les pères aiment sortir? Parce moi jui fan mdr

Y'a un dicton qui dit : Tel père, tel fils... D'où Aidan tient ses blagues foireuses
J'vais essayé d'être à la hauteur du Popa-nul-en-blague mais ça va être dur, il est tellement beau que tout le monde rira à ses blagues

Oh puré, je préfère mille fois le père au fils
Bienvenue

Fabrizio Tomasi a écrit:

Y'a un dicton qui dit : Tel père, tel fils... D'où Aidan tient ses blagues foireuses
J'vais essayé d'être à la hauteur du Popa-nul-en-blague mais ça va être dur, il est tellement beau que tout le monde rira à ses blagues

Je me disais bien qu'il avait pas pu se former tout seul XD
Rooo tout de suite, je doute que le physique soit un critère suffisant pour qu'on rit à ses blagues!

Dam > Bah voyons m'en ous le fils est à moi *y'a pas un smiley avec un fouet? *

C'est pas de ma faute si le père est largement plus beau et sexy

Dans la famille Tomasi, après la mère je veux le père
Bienvenue

Gab' > Tu vois? Bon je vais pas m'aventurer de trop près non plus * a peur *

Damiano > Merci à toi

Luca > Merci

Non pas trop près non plus XD Sinon ça risque den ous faire des problemes ... MDR

Oui, ça ferait tache le beau-père avec le frère
* naaaaan *

Ouais plutôt PTDR
Mais j'ai pas dit on *baf*
je ferais mieux d'y aller miu xd

Bip. Bip. Tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut.





Vache Kiri toi-même.
J'en reviens pas que tu te sois inscrite.

'Pa me faudrait 30 euros pour faire les soldes en contrepartie j'amènerais la voiture au garage pour la faire réparer

Kiri > Quoi? T'en reviens pas? D'ta faute
J'imagine que tu voudras un lien

Lorenza > Nan. 30 euros pour acheter de la peinture et après tu l'as retaperas dans le garage, nan mais

C'est toi qui est faible.
Tu me connais trop bien, voui que je veux un lien.

Ah ouai mais là tout de suite ça me plait moins... *fait sa petite bouille toute triste* s'iiil te plaiiiiiiiiiiit

En tout cas, j'adore le début de la fiche